1. J'ai trouvé. C'est lui (4)


    Datte: 04/06/2023, Catégories: Erotique, Auteur: Mshexp, Source: Xstory

    ... seule envie : que l’on s’occupe de lui. Puis, il approche son visage de mon entrejambe et de sa langue, lape mon sexe déjà trempé.
    
    — Tu es prête !
    
    — A quoi ?
    
    — Tu verras bien.
    
    Il se lève et je l’observe chercher quelque chose dans sa penderie. En se retournant, il a un rouleau de ruban adhésif dans une main et un étrange godemiché dans l’autre. Il se place, de nouveau, face à mon sexe et commence à me caresser avec le godemiché qu’il active. Au point d’excitation où je suis, les sensations sont incroyables. Le Godemiché pivote sur lui-même, frottant toute la paroi de mon vagin déjà inondé de désir. Je commence à gémir tout en basculant mon bassin pour que Benjamin me l’enfonce plus profondément encore. Deux griffes vibrantes désormais excitent mon clitoris. C’en est trop pour moi, je jouis dans un râle bruyant, mon corps se crispe et des spasmes envahissent tout mon corps pendant de nombreuses secondes.
    
    Benjamin, de sa langue caresse mon sexe délicatement, en buvant ma jouissance, puis remet le godemiché dans mon sexe et avec le ruban, l’attache à ma jambe. Il est ainsi enfoncé en moi en permanence, Benjamin ne faisant que de jouer avec le régulateur de vitesse. Un coup doucement, un coup à vitesse maximale. Mon désir se ...
    ... déclenche à nouveau, je ne cesse désormais de gémir, lâchant ci et là des « oui » et des « encore », « oui » jusqu’à ce que l’orgasme me submerge.
    
    Benjamin se lève et me contemple pendant de nombreuses minutes, me laissant récupérer quelques minutes. Puis, avec sa bouche, aspire mes seins, les titille, les tire. Le Godemiché en moi, recommence sa danse diabolique dans mon intimité. Ce traitement me fait à nouveau jouir encore violemment à plusieurs reprises. Chaque orgasme est plus profond, plus violent que le précédent, les spasmes de mon corps ne cessent pratiquement plus, c’est une continuité d’orgasmes qui n’en sont qu’un durant de très nombreuses minutes. Mon sexe est sensible à l’extrême, mais cette maudite machine attise mon plaisir encore et encore.
    
    Je crie, je jouis, je hurle pratiquement sans discontinuer, je supplie Benjamin d’arrêter et la seconde qui suit, je le supplie de continuer jusqu’au prochain orgasme.
    
    Après une heure de ce traitement, je suis terrassée, immobile dans ce lit, mon souffle court, mon corps traversé de répliques orgasmiques. Benjamin me libère. Il me couvre d’une couverture, me dépose un délicat baiser sur mes lèvres, éteint la lumière de la chambre et sort me laissant m’endormir d’épuisement... 
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