1. Douce défloration (1)


    Datte: 03/06/2023, Catégories: Divers, Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    Agé de 20 ans depuis quelques mois, j’ai une copine Antoinette, un peu plus jeune que moi, petite mignonne aux cheveux longs châtains et aux yeux verts. Nous nous fréquentons depuis déjà quelques mois et j’avais envie d’aller plus loin dans notre relation en couchant avec elle. Malheureusement à chaque fois que je mettais ce sujet dans nos conversations elle l’éludait d’une pirouette ou elle se fâchait et me quittait brusquement.
    
    Un jour, il y a trois semaines environ, la sentant un peu plus accessible, je lui demandai pourquoi elle se refusait ainsi. Elle disait à ses copines qu’elle m’aimait beaucoup, que j’étais gentil et prévenant avec elle, bref, elle était bien en harmonie avec moi. Alors pourquoi ce blocage ?
    
    Ce jour-là, elle se confia tout d’abord timidement puis, voyant que je l’écoutais favorablement. Elle finit par me dire pourquoi elle réagissait ainsi lorsque je lui parlais de faire l’amour. Elle avait été agressée sexuellement par un de ses oncles alors qu’elle était encore très jeune. Profitant qu’ils étaient seuls momentanément chez lui, il lui avait caressé le sexe, lui avait ouvert sa robe et avait tété ses jeunes seins naissants.
    
    Elle n’avait jamais rien dit à personne, même pas à sa mère. Depuis elle fuyait tout contact même amical avec les garçons de son âge. J’étais le premier avec qui elle se sentait en confiance, mais elle avait encore très peur de l’aspect physique d’une relation. Elle avait été traumatisée et n’arrivait pas à franchir le ...
    ... pas d’une relation sexuelle librement consentie.
    
    Elle savait que j’avais déjà eu des aventures avec d’autres copines et des femmes plus âgées. Elle avait envie et peur de ce qu’elle allait ressentir lorsque je lui ferais l’amour. J’évitais à dessein les termes crus et quelques peu vulgaires que l’on peut employer dans de telles circonstances. Nous étions dans mon studio de la cité universitaire, Antoinette était allongée à plat ventre sur mon lit et j’étais assis dans le fauteuil de ma table de travail. Nous avions pratiquement terminé notre première année en faculté et il ne restait plus que deux épreuves partielles à réaliser la semaine suivante.
    
    Je cherchai de la musique douce sur mon ordinateur et je vins m’asseoir auprès d’Antoinette. Je la pris avec tendresse dans mes bras pour l’embrasser en lui disant de se détendre et de m’arrêter si elle ne se sentait plus d’accord pour continuer. Je descendis pour l’embrasser dans le cou, je lui mordillai le lobe de l’oreille au passage. J’avais une main posée au creux de son dos et de l’autre j’ouvrais son chemisier pour atteindre sa poitrine menue. Le chemisier enlevé sans qu’elle proteste, je lui caressai les seins par-dessus le soutien-gorge et d’une main je fis sauter l’agrafe. D’elle-même elle fit glisser son vêtement dévoilant ses seins aux aréoles à peine marquées mais dont les tétons pointaient légèrement. Elle avait une très jolie paire de seins et je le lui dis et je demandai :
    
    — Veux-tu que je les embrasse ?
    
    — ...
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