Le Vieil Homme et la Mère
Datte: 02/06/2023,
Catégories:
fhhh,
hplusag,
jeunes,
couleurs,
vacances,
plage,
sauna,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
confession,
Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe
... jupe-caraco est léger, charmant et sexy. Vous pouvez rester comme ça, du moins dans un premier temps, mais vous allez vite le trouver trop chaud. Vous pouvez aussi passer d’abord à la douche – elle est obligatoire, si vous comptez aller au-delà du salon-bar – et revêtir ce kimono. Vous pouvez aussi, si vous le souhaitez, vous dénuder complètement.
— Merci, Madame, pour ce choix. Tout au début du moins, je vais me sentir moins intimidée si je reste en jupe.
— Quant à vous, JA, vous êtes libre de garder votre présente tenue avec votre joli polo et votre pantacourt. Vous savez qu’au salon-bar, vous pouvez consommer à gogo n’importe laquelle des boissons non alcoolisées, mais je suppose que vous voudrez tâter de vrais alcools.
— Merci. Effectivement, Elodie adore le champagne rosé ! Moi, je suis un adepte des purs malts.
— Pas de problèmes, nous servons les meilleures marques. Voici la clé électronique de vos deux casiers. Vous avez eu la sagesse de venir sans bijoux précieux. Votre compagne est tellement belle qu’elle peut s’en dispenser et c’est plus prudent, parce que votre droit d’entrée ne garantit pas contre le vol. Si vous voulez fumer, prévenez-nous de façon que l’on ne vous fasse pas payer une seconde entrée, une fois sortis, car il est interdit de fumer dans tout l’établissement.
— Ni l’un ni l’autre ne fument, ne vous inquiétez pas de cela.
Après avoir déposé nos oripeaux au vestiaire, nous pénétrons dans une vaste salle éclairée par des lampions rouges ...
... tamisés. J’entraîne Elodie vers le bar et lui commande une flûte de champagne rosé Ruinart ; pour moi, un verre de Laphroaig sec. De nos tabourets, nous scrutons les coins et recoins du salon.
— La table que vous avez réservée est là-bas, nous indique la barmaid en nous montrant deux places contiguës, vides, entre deux couples qui discutent, les masques relevés sur le front.
La musique n’est pas aussi forte que d’habitude dans les boîtes, l’air est frais et sent bon. Nos yeux ont du mal à s’habituer à l’obscurité que seules quelques lueurs rouges viennent dissiper. Nous rallions notre place. Elodie, oubliant momentanément les gestes-barrières, veut se blottir contre moi. Je dois gentiment lui rappeler que, normalement, seules nos cuisses doivent se toucher. C’est la première fois que je peux goûter à cette privauté dont je ne saurais me priver, tant ce contact est voluptueux.
Enfin détendus, nous nous enfonçons confortablement dans les profonds fauteuils, nos voisins s’arrêtent de se parler pour nous inspecter d’un œil intéressé. Elodie est à proximité d’un beau quinquagénaire aux tempes argentées qui abandonne sa partenaire pour lui baiser les doigts de sa main droite. Habillé en liquette fleurie, il n’exhibe que ses bras et ses jambes musclés, poilus et bronzés. On devine un sexe en semi-érection pointé dans son boxer-short.
— Bonsoir, madame. Permettez-moi de vous saluer comme une fille de Vénus le mérite. Je suis Charles-Henri et voici ma femme, Marie-Élisabeth. Nous ...