1. Le Vieil Homme et la Mère


    Datte: 02/06/2023, Catégories: fhhh, hplusag, jeunes, couleurs, vacances, plage, sauna, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe

    ... être qu’une liberté partagée, moi seule jugeant ce qui est admissible ou pas. Parfois nos yeux se croisent, un sourire engageant naît sur leurs lèvres. Rarement, je souris à mon tour. Aujourd’hui, je ne suis pas là pour être draguée, mais pour dorer ma peau. On verra bien plus tard. Je suis comme une batterie à plat que doivent recharger les rayons UV.
    
    Toutes les demi-heures, je me plonge dans l’eau rafraîchissante et nage vigoureusement. L’impression qu’elle laisse sur mon minou est grisante. Je me demande jusqu’où elle me pénètre ! J’applique ensuite avec vigueur la crème solaire, surtout sur mes seins, et replonge dans la contemplation des corps de la faune qui m’entoure.
    
    Je ne peux m’empêcher de regarder sur l’onde les nombreuses activités nautiques, et plus particulièrement les kitesurfeurs, qui font avec leur planche d’incroyables figures de voltige qui se terminent parfois par des plongeons brutaux. Ils sont trop loin, je ne peux reconnaître parmi eux mes gentils chauffeurs. Je me demande comment réagir si l’un d’eux, errant sur la plage, venait à me reconnaître. Ce qui est sûr : je me vois mal jouer aux acrobates comme eux.
    
    Mon esprit vogue vers JA, ses soins apportés à m’endormir confortablement et la trop courte séance de photographie à laquelle il m’a soumise. Bien qu’inconsciente lorsqu’il m’a dévêtue, je l’ai associé à mes rêves. Lorsqu’il s’est escrimé sur l’agrafe de mon soutien-gorge, j’ai revécu mes premiers émois féminins et les mains maladroites ...
    ... de mes soupirants inexpérimentés. Faute d’agilité de leur part, je me suis plusieurs fois retrouvée avec les seins extirpés sans douceur de leurs bonnets qui les comprimaient, ce que je n’aimais guère vu les vilaines traces sous la poitrine qui en résultaient. Lorsque JA a regagné sa chambre, toujours dans mon rêve, j’ai ressenti une absence et le triste sentiment de vide que j’éprouvais dans mon lit lorsqu’une rupture me séparait d’un partenaire auquel je m’étais physiquement attachée…
    
    Un grand noir s’approche. Il me ramène sur terre. Il est le seul « vêtu » ! Il se penche vers moi et me propose des sandwichs ; avant que son nez n’ait percuté ma poitrine, je lui achète un pan-bagnat pour le tenir à distance. Il s’éloigne comme à regret. Mon achat est mangeable et suffisant pour me rassasier. Pour calmer ma soif, j’ai ma maxibouteille d’eau minérale qui me sera à peine suffisante pour tenir jusqu’à mon retour à l’hôtel…
    
    Je me suis assoupie un bon moment. À mon réveil, je constate que ma voisine germanique et son compagnon, au tour de ventre aussi impressionnant, se sont déplacés pour avoir ma féminité juste dans leur axe de vision. Cette insistance m’agace, je leur fais une grimace, pour leur signifier qu’ici, on peut « voir », mais qu’on ne « regarde » pas !
    
    Il est déjà assez tard. Je m’ébroue, pique une dernière tête, me sèche, enfile un léger paréo pour retourner vers l’hôtel. Je suppose que JA aura fini sa partie de golf et sera là. J’ai tâté pendant deux ans ce ...
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