Les couples se croisent - Histoires de Sexe

Les couples se croisent

... je venais de faire un zouk endiablé avec l’apprenti et j’étais couverte de transpiration que j’avais partiellement évacuée dans les toilettes.
— C’est ce qui me plaît, l’odeur et le goût de la femme. C’est tellement subtil.

Sitôt arrivées dans sa chambre, elle me bascule sur le lit et m’écarte les cuisses en plongeant sa tête vers mon intimité.

Là, je ne peux résister, du reste je ne le veux pas, c’est le feu d’artifice.

— Donne-moi aussi tes trésors.

Pour la première fois de ma vie, je promène ma langue sur des lèvres intimes féminines et j’adore ce fruité, son bonbon si réactif.

— Quel beau tableau, annonce Georges en nous voyant, l’outillage sorti de son pantalon, vous permettez que je me joigne à vous ?

Après l’émoi que m’a fait ressentir sa femme, de voir son homme prêt pour être consommé en rajoute une couche.

— Tu es sûr que la viande du barbecue ne risque pas de brûler ? s’inquiète Marika, tu aurais au moins pu attendre un peu que nous ayons fini de nous raconter nos histoires de femmes.
— Vous pouvez toujours continuer à vous raconter ce que vous voulez, si j’ai un peu le droit à la parole.
— Je sais que depuis longtemps tu attends ce moment de pouvoir goûter notre chère Nadube, je te laisse la place, elle est délicieuse, mais ne mange pas tout, laisse-m’en un peu. Je vais voir à quoi en est le barbecue.

Georges ne se le fait pas dire deux fois et sans plus attendre il s’avance entre mes cuisses et colle ses lèvres sur mes lèvres intimes. ...

... On voit qu’il est vraiment affamé et il me boit avec avidité, comme s’il sortait du Sahara.

C’est qu’il lèche somptueusement bien, je ne sais si c’est le petit coup de couteau que je mets dans le contrat de mariage, mais il me semble que mon mari n’est jamais arrivé à me faire si bien décoller, enfin, il faut dire que Marika avait bien chauffé la place. De plus en plus, je vois des étoiles devant mes yeux, ma pression monte dangereusement pour finalement éclater dans un feu d’artifice.

Alors, se couvrant pour la pluie, il présente son sexe à l’orée du mien et doucement l’introduit, lentement il se met en mouvement, mais assez rapidement, ses mouvements deviennent saccadés, j’ai peur que cela ne dure pas longtemps alors je lui propose de se mettre sur le dos et que je dirige la manœuvre.

— Alors mon mari chéri, elle te convient, notre chère Nadube.

Vraiment, ces deux-là, ils partagent tout, mais ce n’est pas désagréable. Je me demande comment cela sera avec mon cher et tendre mari, va-t-elle aussi le partager ? Je vois assez bien le tableau, elle dessous, mon mari labourant sa terre avec acharnement et par-dessus tout Georges ayant pignon sur raie. Je me dévergonde vraiment, mais tant qu’à faire s’il faut passer par là, autant le faire profondément et agréablement.

— Arrête Marika, pas là ce soir, sinon je n’aurai plus rien à offrir.

Aussi tôt elle ressort un doigt qu’elle avait indiscrètement introduit dans mon fondement.

— Excuse, c’est vrai, je pensais ...