Et Dieu créa la chienne (4)
Datte: 01/06/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Christalship, Source: Xstory
Forcée à obéir, mais consumée par le désir et la curiosité, Annabel se jeta sur le membre dur qui s’érigeait entre les jambes de Camille. Elle le prit en bouche et le suça comme elle ne l’avait jamais fait auparavant. Le pénis de Camille était long, épais et lisse. Son gland, circoncis, était luisant. Annabel ressentait les pulsations émanant du sexe qu’elle avait en bouche. Il vibrait sous ses succions. Elle aimait ce sentiment, cette sensation d’être remplie, et s’efforça à donner tout le plaisir possible à son amante. Elle alternait entre légers coups de langue et tentait d’aspirer l’énorme queue aussi profondément qu’elle le pouvait.
Camille fit passer ses deux mains derrière la tête d’Annabel, puis la pressa contre elle pour que son sexe s’enfonce au plus profond de sa gorge. Camille baisait littéralement la bouche de la brunette, qui semblait apprécier la situation. Elle aimait être dominée. Ne pas avoir son mot à dire. Etre soumise.
Vincent fixait la scène, hagard. Un filet de salive s’écoulait de sa bouche. Il ne pouvait pas bouger mais la vision de ce qui se passait sous ses yeux lui procurait une érection telle qu’il en avait presque mal. Sa femme était devant lui, agenouillée, en train de sucer un transsexuel.
Cyrille s’approcha d’Annabel et s’agenouilla derrière elle. Il souleva sa jupe et sortit sa queue pour la prendre, en levrette, pendant qu’elle suçait Camille. Annabel sentit le membre s’insérer en elle. La remplir. Elle remarqua que Cyrille ...
... n’avait pas mis de préservatif. Trop tard. Elle était dans un état où il n’était plus question de ce qui est bien ou mal, de ce qui est juste ou injuste, de ce qui est moral ou immoral. Seul comptait le besoin impérieux d’assouvir cette pulsion bestiale qui s’était emparée d’elle. Elle se faisait prendre par un inconnu, pendant qu’elle suçait une transsexuelle, le tout sous le regard de son mari. Elle explosait littéralement de l’intérieur. Tel un big bang cosmique, la pulsion se répandait en elle, infiniment. Elle sentait les va-et-vient de Cyrille, qui lui procuraient un plaisir indescriptible. Les coups de boutoir étaient accompagnés, à intervalles irréguliers, de puissantes claques données sur ses fesses.
Chaque coup l’irradiait d’une douleur mêlée d’un plaisir aussi coupable qu’intense. Elle se sentait dévergondée. Elle était une chienne. Et elle aimait ça.
Cyrille, haletant, s’interrompit puis ordonna à Camille de baiser le cul d’Annabel. Il se retira au même moment, sans avoir joui. Les rôles s’échangèrent et la rousse vint se placer derrière la brune, le sexe encore gluant de salive. Annabel, cambrée à l’extrême, lui offrit littéralement son cul. Son anus était aussi dilaté qu’il pouvait l’être. Malgré la taille de son sexe, Camille s’inséra sans grande difficulté dans le fondement de sa victime. Annabel ressentit quelques décharges de douleur aiguës qui se muèrent rapidement en plaisir. Camille commença un lent va-et-vient. Pendant ce temps, Cyrille s’assit sur le ...