Série insolite. Épisode 14 « Sarah » : Baisée pour conserver son emploi mais pas pour faire la pute. Partie 5/13
Datte: 31/05/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... cette chambre comme je l’avais prévu, nous nous étions préparés et nous étions sortis en ville. Je n’étais rentrée que le dimanche très tard dans la nuit après avoir fait l’amour chez Kévin.
Le lundi matin, André n’était pas passé m’amener le café au lit, par contre Sophie était venue me dire dès ma prise de poste que le boss voulait me voir, je me doutais bien des raisons de cette convocation et je n’avais aucune intention de lui mentir. Ce fut la raison pour laquelle, lorsqu’il me demanda ce que j’avais fait de mon week-end, je lui dis toute la vérité et je fus très surprise de sa réaction : « C’est vrai, je t’ai dit que tu pouvais faire ce que tu voulais dans la chambre d’amis mais je t’interdis de baiser avec un employé quel qu’il soit, ce serait une trahison. As-tu bien compris ? » J’étais stupéfaite, je ne savais plus quoi dire, il ne m’avait pas menacée directement mais ses propos étaient clairs : « Ok André, je ne vous trahirai plus. » Lui mentis-je.
En effet, je savais que j’avais une vie de princesse ici et ne voulait pas la perdre, cependant j’avais bien l’intention de continuer ma relation avec Kévin qui était pour moi une échappatoire. Me devant être de plus en plus discrète, je ne déjeunais plus avec mes jeunes amis mais dès que j’étais libre les week-end, j’écrivais un petit mot que je laissais à Kévin lorsqu’il venait me saluer le vendredi soir mais nous nous retrouvions qu’en ville et finissions la nuit chez lui où je prenais énormément de ...
... plaisir.
Seulement, je devais probablement être observée car deux mois plus tard, Kévin fut convoqué chez le boss. Soit il acceptait sa mutation à Lille, soit il démissionnait. Si moi, je n’étais pas amoureuse, lui l’était et le choix fut difficile à prendre. Il avait fallu que je parle longuement avec lui afin qu’il accepte de partir dans le Nord. Depuis ce jour-là, le comportement d’André commença à changer. Je rencontrais quelques problèmes lors des réceptions ou des soirées mondaines, avec certains des amis du PDG mal intentionnés et sans scrupule. Dès que ceux-ci avaient un peu trop bu, ils se permettaient de me tripoter la poitrine ou le derrière sans vergognes.
D’autres bien plus audacieux, n’hésitaient pas à se coller dans mon dos, afin que je ressente leur sexe sur mes fesses à travers le tissu fin de ma robe de soirée. Ne désirant pas faire de tort à André, je me forçais à ne pas faire d’esclandre en essayant de m’extirper et en allant rejoindre d’autres invités. J’avais de plus en plus de grandes difficultés à me libérer de leur emprise. Lorsque j’en avais parlé à André, celui-ci me dit simplement : « Si tu veux baiser, vas-y tu as ma bénédiction. Attention, si tu leur refuses fais-le avec diplomatie, ce sont tous mes amis. »
À partir de là, je sus que je devais me défendre seule, ne désirant pas perdre ce que j’avais mis un an à bâtir, lorsque ces types se collaient à moi, je me retournais et les caressais au-dessus de leur pantalon. Ayant tous une peur bleue de leur ...