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Michel et Julie (2)
Datte: 30/05/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: vivamour, Source: Xstory
... sincèrement je ne me vois pas vivre toute une vie avec lui, je ne pourrais dire pour quelle raison. — Tu as deux semaines pour y réfléchir. — Tu as raison et toi ? Parle-moi de ton travail de la société bref un peu de tout ! — Moi, c’est facile, j’ai un bon job dans l’informatique, bien rémunéré plus mes cours donc je vis bien, seul problème c’est que ma société va me muter dans son agence de Nice où j’aurais double fonction avec le salaire qui suivra, le premier je passe directeur adjoint de l’agence et le second c’est que je passerai deux jours par semaine à former des ingénieurs maisons. — C’est bien tout cela, maintenant que nous avons fini nos verres, nous reprendrons cette conversation demain, je voudrais m’occuper de ta bite, regarde elle a repris du volume ! — Je vais porter à la cuisine les verres et toi ma chérie va te laver le cul, car je vais te pourfendre l’anus et je vais te ramoner comme jamais tu l’as été. — Mais mon salop de chéri, on m’a rarement sodomisée, mais avec toi si tu ne me fais pas mal alors tu pourras y enter autant de fois que tu le voudras. — J’ai remarqué, que tu étais déjà une experte en amour avec tes 25 ans je pourrais dire que tu as des heures de vol au niveau sexe, normal avec le corps de déesse que tu as. — Et toi mon salop avec la queue que tu as, tu as ...
... dû en faire des heureuses, à quel âge as-tu baisé pour la première fois ? Et à 28 ans combien de femmes sont tombées dans ton lit ? — J’avais 17 ans avec la voisine des parents lorsque nous résidions à Bordeaux, puis ce fut le vide jusqu’à 21 ans, mais après je me suis goinfré de chattes et de nichons. Maintenant ma douce occupe-toi de ma tige, regarde elle a grossi rien que pour toi et place-toi en 69 je vais pouvoir lécher ta petite moule et mes doigts vont s’occuper de ton petit trou. Une fois en place, Julie était émerveillée par la grosseur du sexe de son frère, le gland était rose presque rouge elle le décalottait au maximum lorsqu’elle exécutait ses va-et-vient, puis n’y tenant plus elle goba la grosse tige de Michel en ouvrant sa bouche le plus qu’elle le pouvait, mais comme dit le proverbe : Quand on veut, on peut, pendant ce temps Michel faisait descendre puis remonter sa langue dans la fente de Julie, cette langue écartait les lèvres au fur et à mesure qu’elle montait et descendait s’arrêtant juste au bord du vagin ne pouvant aller plus loin, car il avait introduit deux doigts à l’intérieur dudit vagin tout humide de cyprine et de son autre, mais il caressait l’anus, à chaque passage d’un ou deux doigts sur l’œillet Julie frémissait du cul. Quel merveilleux moment pour le frère et la sœur. A Suivre