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Mon père (6)
Datte: 29/05/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: raspou1968, Source: Xstory
ALEXIA Le sentir, sentir le sperme de mon petit papa, s’écouler en moi, est une sensation difficile à décrire. C’est ce même sperme qui m’a engendrée quand il s’est écoulé dans le sexe de maman. Et cet interdit est délicieux. Je sens les jets de foutre atteindre mon utérus et se répandre dans toute ma petite chatte. Et je jouis, je jouis, comme je n’ai jamais joui auparavant. Le plaisir s’étend de mes orteils à la pointe de mes cheveux, c’est incroyable. Mon corps tremble de partout, j’en ai les larmes aux yeux. Je lui crie de me baiser encore et encore, jusqu’à ce que je perde conscience. Je veux sa belle queue, sa tige d’amour, encore en moi. Je m’affale sur le lit, mon petit papa toujours planté en moi. Il s’écrase sur mon corps. De tout son poids. La peau de son ventre est chaude contre mon dos. J’aime la sensation de son sexe qui dégonfle peu à peu dans mon con meurtri, trempé. Je souris bêtement. J’ai réussi à l’amener là où je le voulais, en le menant par le bout de la queue. Et j’en suis fière. Il m’a enfin vue comme une belle femelle à conquérir et à saillir comme le beau mâle qu’il est. Il ne dit pas un mot, mais embrasse doucement ma nuque et mes cheveux. Enfin, il s’extirpe de mon corps dans un bruit mouillé qui m’excite, se retourne et s’allonge à mes côtés, sur le dos. Ses yeux sont fixés au plafond. Il sourit aussi. Mais j’ai un peu peur des premiers mots qu’il va prononcer. Encore sur le ventre, je tourne ma tête vers lui et ...
... l’observe en silence. Je lui adresse mon plus beau sourire. Lui, distraitement, passe ses doigts sur mon dos, sur mes fesses, entre mes fesses. Ma peau est hypersensible, du fait de ma jouissance, et ses caresses me font frissonner. Il caresse aussi mes joues. J’embrasse sa main, qui est si douce et tendre. C’est comme s’il ne m’avait pas baisée en levrette, comme une chienne, à peine cinq minutes plus tôt. Je sens qu’il a envie de parler, mais qu’il n’ose pas. J’approche alors mon visage et l’embrasse à pleine bouche. Il ne se refuse pas. Nous avons franchi une limite, que j’espère secrètement définitive. Puis il s’écarte pour parler. Je prie intérieurement ... LE PERE Il faut que je dise les mots. Mais j’en ai si peu envie. Elle est majeure, c’est vrai, tout juste. Mais c’est tout de même ma fille et ce que nous avons fait est mal. Très mal. J’hésite. Alexia en profite pour approcher ses lèvres des miennes et ... je n’y résiste pas. Sa langue tourne avec passion et amour dans ma bouche, vicieuse, habile, pernicieuse. L’effet est immédiat : ma queue reprend du volume. Ce qu’elle aperçoit du coin d’un œil amusé. Sa peau est si douce. Je la veux encore. Et encore ... Mais non ! Je me secoue ! Je la repousse, gentiment, mais fermement. — Alexia, il faut que nous parlions. — Oui, papa, bien sûr. C’était génial. — Oui c’est vrai ... mais non ! Ma chérie, arrête de m’embrouiller ! — Pardon pardon (dit-elle en éclatant de rire, ses jolis ...