Amélie, comme une petite soeur (8)
Datte: 28/05/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Benj781, Source: Xstory
Jour 9
Je suis entre deux eaux, ni réveillé, ni endormi. Comme depuis que nous dormons ensemble, nous sommes en cuillère et je suis collé dans le dos d’Amélie, je n’ai aucune idée de l’heure qu’il peut être, il semble faire encore nuit noire.
Mon sexe est dressé contre ses fesses, je la désire. Ma main caresse ses seins, je les sens rapidement pointer au travers du tissu, elle plaque ses fesses contre mon sexe. Je sens qu’elle se réveille peu à peu, elle saisit ma queue sous mon short et commence à faire aller et venir sa main dessus. Aucun de nous ne dit un mot, sans doute trop endormis ou encore sous le coup de notre découverte d’hier. Elle s’allonge et j’embrasse chaque zone de son corps que je libère progressivement du satin du son pyjama. Je libère ses seins si délicieux et passe un peu plus de temps à les cajoler, ma langue jouant avec ses tétons. Sa main me caresse les cheveux et parcourt également mon corps. Je continue mon effeuillage pour faire glisser son shorty le long de ses cuisses, quel délicieux moment quand elle soulève les fesses pour m’aider à le libérer, j’adore cette sensation et cette invitation au désir à s’offrir ainsi, cela me provoque toujours une excitation folle.
N’en pouvant plus, je plonge ma tête entre ses cuisses et la lèche passionnément. Pendant que ma langue travaille, mes mains ne restent pas inactives, je caresse sa poitrine, son ventre, ses jambes que j’aime tant. Je finis par les faire rejoindre ma langue qui joue avec son ...
... clitoris puis mes doigts glissent en elle. Amélie mouille abondamment et je me délecte de sa cyprine.
— Viens en moi, je te veux.
Je saisis alors un préservatif, l’ouvre, Amélie semble maintenant totalement réveillée et me regarde dans les yeux avec un air dubitatif.
— Ne le mets pas s’il te plaît, viens en moi comme ça.
— Mais !
— Tu es le seul homme en qui j’ai totalement confiance désormais, je te veux et sans préservatif, je te veux avec tout ce que cela peut impliquer, je veux qu’on puisse se donner totalement l’un à l’autre.
Je suis figé et ai toujours le sachet de la capote entre mes mains, je ne m’attendais pas du tout à ça, je reprends timidement la parole :
— Mais, tu réalises si jamais tu tombes enceinte ?
— Je t’aime, je t’aime de tout mon cœur comme je n’ai jamais aimé quelqu’un. Oui je réalise tout à fait et si j’ai un enfant, je veux qu’il soit de toi, pas de l’autre enfoiré qui va me servir de mari !
Je me penche sur elle pour l’embrasser tendrement et reste contre elle à la câliner. Je suis tellement confus, je n’avais pas encore réfléchi à avoir d’autres enfants et encore moins avec une autre femme, alors avec Amélie que je voyais encore comme ma petite sœur il y a quelques jours, c’était tout bonnement impensable.
— C’est toi qui décides, sache que je ne t’en voudrais pas si jamais tu décides de l’enfiler.
Je suis vraiment perdu, je ne sais pas quoi penser. J’ai tellement envie d’elle, de sentir son corps vibrer autour de moi, de ...