Découverte d'un étudiant (4)
Datte: 28/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Coquine-Aur, Source: Xstory
... ses collants pour se caresser le haricot.
Je léchai Louise, je la suçai, je la titillai pour qu’elle en vienne à me supplier de la prendre, et ça fonctionna. Elle se mit à quatre pattes, bien ouverte sur le canapé pour m’appeler, son bijou intime bien en évidence. Je la pénétrai d’un seul coup, fort, déclenchant un petit cri de plaisir aigu. Elle m’encouragea à y aller plus fort, à la claquer alors que Marine se doigtait allègrement. Je la baisais, clairement, fort, vite, profond, en lui tirant les cheveux. Marine s’en léchait les babines et semblait jouir sans interruption comme Louise, déchaînée qui coulait littéralement sur le canapé.
— Marine, ma chérie, haleta Louise, ne reste pas dans ton coin, viens me retirer mon plug, demanda ma chérie contre toute attente.
Marine n’hésita pas et s’approcha de nous. Je m’écartai et lui laissai le champ libre. Elle caressa les fesses de Louise, les couvrant de baisers, elle s’aventura vers les seins de ma chérie et les prit en bouche. Ma belle se laissa faire et encouragea la nouvelle venue à poursuivre son œuvre. Les deux femmes partirent dans un ballet de baisers et de caresses tendres. Marine dévorait les seins de Louise et je me contentais de les regarder, pour le moment.
Louise déshabilla Marine et prit ses petits seins entre ses lèvres. Ils étaient joliment dessinés, fermes, dressés d’excitation, comme deux petites pommes. Marine ferma les yeux et se laissa faire, gémissant, chantonnant son plaisir. Elle ...
... posait ses mains sur ma Louise qui prenait le dessus. Elles s’embrassaient, passaient leurs mains partout jusqu’à ce que Louise arrête ses lèvres sur l’abricot de Marine. Elle le lapa, le suça, le titilla de sa langue, à croire que ça n’était pas sa première fois. La réaction de Marine ne se fit pas attendre et elle commença à se tortiller, à caresser et pincer ses seins, à haleter, à en demander plus encore.
Louise la doigta, deux, sans ménagement qui firent crier Marine. Elle branlait le clito, la doigtait dans un concert de gémissements et de bruits obscènes. J’observais la scène et je me rapprochai pour embrasser ma belle avant de rejoindre mon perchoir. Louise semblait décidée à faire jouir Marine comme une folle et s’y employait de toute sa sensualité. Je caressais ma queue dure comme l’acier en savourant ce spectacle.
— Tu aimes ce que tu vois mon cœur ? me demanda Louise entre deux coups de langue sur le clito de Marine.
— C’est délicieusement érotique, j’aime beaucoup, ça se voit, lui répondis-je en montrant ma queue dressée.
Elle me fit un signe de tête et je vins près de ma dulcinée, l’embrassant, la caressant, passant ma main entre ses cuisses. Elle était trempée. Faire jouir une femme au bout de ses doigts devait l’exciter au plus haut point.
— Mon cœur, me permets-tu de t’aider à faire jouir Marine ? lui demandai-je.
— Bien entendu mon chéri, tant que tu y es, fais-la taire un peu, il ne faudrait pas que les voisins portent plainte pour tapage ...