Le réconfort Mère-fils - Histoires de Sexe

Le réconfort Mère-fils

Je me sentais le devoir de réconforter mon fils.

Je m’appelle Ayline, j’ai tout juste 53 ans.

Il y a trois ans, mon mari est décédé après plus de vingt-cinq ans de mariage.

Au début de mon veuvage, c’était très difficile. Etre soudainement seule n’est pas commode à vivre. Et c’est comme ça que j’ai commencé une thérapie pour éviter la dépression. Après un an de thérapie, mon psychanalyste m’a recommandé de rencontrer d’autres hommes et donc je suis passée par Internet. Bien entendu, j’ai consulté toutes les indications sur son utilisation et suivi chacun des conseils proposés. Au début, je cherchais de nombreuses assurances, mais, quand j’étais prête à affronter la réalité, une urgence sanitaire est apparue, pandémie COVIT.

Après le blitz des nouvelles télévisées, j’ai été terrifiée ; donc mon incursion sur Internet a été abandonnée et j’ai retiré l’application de mon téléphone portable. Quoi qu’il en soit, j’ai continué avec mes sessions de psychanalyse, par vidéoconférence, ce qui m’a permis de gagner en sécurité et de me méfier de ce terrible virus.

Un jour, pour tuer le temps et ne sachant pas quoi publier sur les réseaux sociaux, je suis tombée sur une page sur la masturbation féminine. Lorsque j’ai eu fini de lire l’article, qui, d’ailleurs, était très bien préparé, j’ai été tentée d’explorer mon corps, trouvant après quelques exercices, une satisfaction prometteuse, compte tenu des circonstances.

Alors, j’ai continué mes recherches sur Internet, ...

... trouvant d’autres portails intéressants, sur l’utilisation des vibromasseurs. Par la suite, j’ai cherché à en acheter un, avec les dimensions dont je me souvenais de mon défunt mari, cette forme me satisfaisant.

Heureusement, malgré le confinement obligatoire, les livraisons à domicile et en toute discrétion étaient permises. Quand j’ai ouvert l’emballage, lu les consignes d’hygiène et tout ce qui concerne son utilisation, je n’ai pas mis longtemps à aller aux toilettes pour le tester. J’ai commencé à l’étudier et j’avais l’impression que mon vagin devenait de plus en plus humide, à cause de l’excitation que je ressentais, je pouvais sentir mes sous-vêtements se mouiller. Sa forme était parfaite, semblable à un vrai pénis avec 14 centimètres de pénétration. J’avais besoin de le sentir en moi, le plus tôt possible. Alors, j’ai remonté ma jupe, j’ai enlevé ma culotte et j’ai souri en voyant à quel point c’était humide. Je m’assis un peu inclinée, sur le tapis de toilette, pour être à l’aise et donner un bon accès à mon nouveau compagnon. J’écartai les jambes et fermai les yeux, avec un mélange de nervosité, de peur et de désir.

J’ai rapproché la pointe de mon vibromasseur et me suis caressée de haut en bas, plusieurs fois. J’ai décidé de m’arrêter et d’attendre un peu, car j’allais venir, sans même l’avoir essayé.

Pour me détendre, je me suis nettoyée. J’ai essayé de ne pas trop enlever de jus pour que ce soit plus facile d’entrer dans mon vagin. Cela faisait longtemps que ...