Les histoires extras et ordinaires d'Ana, jouisseuse de la vie. (2)
Datte: 28/05/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: Ana_Lisa, Source: Xstory
... son corps de pucelle vaillamment préservé jusqu’à présent.
Mes gestes se firent moins empressés, plus doux. Mon désir ému la fixant au fond des yeux, mes doigts caressèrent doucement la ligne de crête de ses épaules, repoussant délicatement les bretelles de la robe et du soutien-gorge. Bientôt elle laissa ma bouche couvrir chaque parcelle de son cou et de sa gorge, jusqu’à la limite du corsage. Il était trop tard, elle le savait et, elle aussi, elle le désirait. Je défaisais un à un les boutons de sa robe, dévoilant progressivement la blancheur de sa poitrine que mes lèvres goûtaient immédiatement, repoussant bientôt lentement les bonnets de coton blanc qui emprisonnaient encore ses seins délicats.
La découverte de ses aréoles rose foncé, puis de ses tétons peu développés qui réagirent si bien à mes baisers, fut un moment de grâce. Elle frissonnait. Soupirait. Sous mes lèvres brûlantes ses seins se gonflaient de désir. Ses jambes s’entrecroisaient sur le feu qui déjà dévorait son bas-ventre.
Je décidai de glisser bien plus bas. Ses jambes… longues, fines, douces… ses pieds délicats… ma bouche et mes mains les découvraient et les honoraient patiemment. Je remontais lentement. Elle reprenait son souffle, mais elle s’était définitivement abandonnée. Sa chatte inviolée attendait ma venue, elle la désirait, intensément, et le parfum inoubliable de son désir emplissait de plus en plus puissamment mon âme entière. Je glissais entre ses jambes, le long de ses cuisses, ...
... retroussant sa robe et découvrant sa sage culotte blanche à l’entrejambe trempée. Je ne la retirai pas. Cette jolie culotte de pucelle humide de désir m’excitait terriblement. J’enveloppai délicatement son entrejambe dans ma paume recourbée, avant de presser lentement et de plus en plus fermement son sexe tout en cherchant son regard. A travers le tissu trempé, mes doigts s’enfonçaient entre ses lèvres, ma paume devinait le frottement des poils de son pubis… Le premier gémissement de plaisir qu’elle ne put retenir à ce premier contact étranger sur sa chatte de jeune vierge me fit mouiller intensément.
Mes lèvres embrassaient à présent son sexe à travers sa culotte. Je léchais son jus à travers le coton. Son goût était doux et acidulé, comme un bonbon. Elle gémissait et se tortillait. Mon nez s’enfonçait dans sa fente. Mes doigts glissaient sous le coton, jouaient avec les boucles de la fine toison de son pubis, préservée mais précisément délimitée, longeaient ses lèvres dans les plis de l’aine, puis remontaient parfois dans le creux de son sillon, à nouveau sur le coton. Elle dégoulinait. Elle n’en pouvait déjà plus de m’attendre… Alors, je fis glisser le long de ses jambes sa culotte trempée de petite fille plus si sage... Sa belle fente rose, ouverte, s’offrait à moi. Sa toison aux poils blonds si fins ne recouvrait qu’à peine ses grandes lèvres. Pour la première fois une bouche épousa son sexe nu et brûlant. Ma langue caressa lentement toute sa fente, lapant puissamment son ...