1. Olga contrôle la situation


    Datte: 27/05/2023, Catégories: fh, fplusag, profélève, hsoumis, BDSM / Fétichisme pied, hsoumisaf, Auteur: Fredeau, Source: Revebebe

    ... intenable pour moi, mais délicieusement excitant.
    
    Elle a ensuite complètement enlevé son string pour me le tendre, tout en s’agenouillant à mes côtés.
    
    — Remontre-moi ce que tu as fait cet après-midi avec ma petite culotte, refais la même chose avec mon string, je veux voir…
    
    Je n’ai rien répondu. C’était ça qui l’excitait, le fait de me voir. Le fait de m’ordonner à me livrer devant elle. Elle ne m’avait pas encore touché de ses mains… C’était inconcevable cela pour moi.
    
    J’ai donc entouré mes bourses et mon sexe dans son string. Il y avait moins de tissu, mais j’avais mis la tension nécessaire à me faire bander encore plus. À la limite de la douleur. À genoux, à hauteur de mon sexe, je la voyais s’amuser de la couleur qu’il prenait. Elle esquissait ce sourire en coin, à la fois coquin, gourmand, envieux, mais tout en maîtrise, encore et toujours. Il lui aurait suffi tirer la langue pour atteindre mon gland, tellement elle était proche. Puis, tournant son regard vers moi, tout en finesse et à voix basse, elle m’a murmuré ces cinq mots que je ne suis pas près d’oublier… :
    
    — Je vais te faire cracher…
    
    Ce fût presque plus fort qu’une délivrance, un soulagement, elle allait faire ce qu’elle voulait de moi… j’en étais clairement ému, et j’ai dû lui répondre dans un souffle, un soupir, un truc incompréhensible tellement j’en pouvais plus et que c’était la chose que j’attendais le plus depuis qu’elle était rentrée en fin d’après-midi.
    
    Elle a sorti sa langue pour ...
    ... la faire glisser sur toute ma verge. Elle passait au-delà des liens de son string qui m’enserrait toujours le tout. Elle humecta ses lèvres pour les placer sur mon gland. Elle me le cajola, avec beaucoup de douceur et de patience. Jamais elle n’a été trop vite. Toujours elle cherchait mon regard pour partager nos émotions.
    
    Elle a atteint mes couilles serrées qu’elle a prises une à une entre ses lèvres pour les faire rouler avec amusement.
    
    Elle savait y faire. Elle n’a rien dit, je me suis laissé faire. Je n’ai même pas pris sa tête dans mes mains pour lui donner le mouvement. Elle faisait ce qu’il fallait. Elle alternait ses coups de langue partout sur ma tige avec les frictions d’un anneau formé par son pouce et son majeur à la base de la verge pour bien me masturber. Il y avait un mélange de sensations dans mon bas-ventre, je sentais sa langue, sa main experte, le tissu serrant la base de ma verge… son souffle haletant et son regard de braise figé dans le mien.
    
    — Vas-y, exprime-toi, je veux t’entendre, m’ordonna-t-elle.
    
    J’ai juste ouvert la bouche pour laisser s’échapper mes soupirs de satisfaction, mes gémissements de bien-être.
    
    J’étais tendu à l’extrême, mais paradoxalement en train de me détendre complètement. Sans retenue, j’étais jambes écartées, le sexe érigé, à la merci des caresses intimes de ma Professeure. Aussi respectable qu’elle soit, on passait un nouveau cap maintenant !
    
    Elle devançait la montée de mon plaisir, je l’ai vue se redresser entre ...
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