1. Je suis maman... et un peu salope (3)


    Datte: 26/05/2023, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: sckad96, Source: Xstory

    ... elle lève et descend ses genoux à la manière d’un french cancan, ce qui fait tressauter sa jolie poitrine et nous subjugue par la même occasion.
    
    La bosse contre ma cuisse enfle de plus en plus... J’en connais un qui doit regretter d’être resté en pyjama pour la représentation ! Mais au vu de l’intérêt qu’il porte à la chorégraphie de sa fille, je pense que sa principale préoccupation en ce moment est de voir voler le petit tissu blanc qui s’agite sous son nez ! Cela ne saurait tarder, la fin de la chanson approche et notre fille s’est positionnée de dos à nous. Elle remue les fesses... mais ne baisse pas son string. Non, elle a changé la chorée... Elle retourne son buste dans notre direction et d’un doigt, fait signe à son père de se rapprocher...
    
    — Ouh ouh, je crois que s’est à toi de lui enlever mon chéri !
    
    — Hein, mais... mais c’est notre fille ! J’vais pas...
    
    — Allez, t’en meures d’envie ! Et je crois qu’elle aussi ! Allez, dépêche-toi ou tu vas la vexer !
    
    Sacrée Elodie, elle apprend vite, très vite même ! Je me suis levée de la cuisse de mon mari qui, désormais libéré, s’avance limite chancelant vers le cul de sa fille. Il s’agenouille, la tête au niveau de ses fesses. Ses mains s’approchent maintenant des hanches, saisissent le string de chaque côté, hésitent un instant et le font rouler le long de ses cuisses. L’image est belle : un père découvrant fébrilement le cul nu de sa fille.
    
    La culotte à ses pieds, Elodie lui laisse le temps d’admirer les ...
    ... deux globes surmontant les lignes de sa fente. D’ailleurs, celles-ci me semblent plus nettes, plus distinctes. Rapidement, elle se retourne sur elle-même les deux mains sur le sexe, en enlève une, puis la seconde et sa vulve entièrement dépourvue de poils apparaît au grand jour. La coquine s’est rasée tout le minou ! Adieu le fin duvet ! La verge de mon mari déforme son pantalon. Le connaissant, cela doit être tempête dans sa tête pour se retenir de ne pas déposer un baiser sur ce coquillage si accueillant ! Il adore tellement sucer mon minou tout lisse !
    
    Moi-même je dois dire que je glisserai bien la langue dans cet abricot qui respire la fraicheur ! Je ne me suis jusqu’à présent jamais sentie attirée plus que cela par les sexes féminins, mais à cet instant précis, j’ai envie de découvrir la saveur de ma fille. Inconsciemment, je me mords les lèvres à l’idée de pouvoir la déguster. Elodie, ma fille, un jour Maman se désaltérera à ta source... Et j’espère bien que ton papa m’accompagnera !
    
    La fin du numéro me tire de mon trouble. Elodie se recule de son père, sort les deux pistolets de leurs étuis, vise son géniteur et mime le tir. La musique s’arrête, elle souffle sur les armes, les fait tourner sur ses doigts et les rengaine. Je l’applaudis de toutes mes forces pour lui montrer combien elle a réalisé à la perfection son numéro. Son père, encore un peu hébété et plié en deux, est retourné sur le fauteuil et frappe lui aussi des mains. Elle lui saute au cou :
    
    — Bonne ...
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