Nos dix jours de vacances libertines (1) - Histoires de Sexe

Nos dix jours de vacances libertines (1)

... pose délicatement ma main sur la sienne en la caressant. Je suis sûr, que dans mes yeux, elle peut lire tout l’amour que je lui porte et je savoure cet instant de complicité et de bonheur. Elle me sourit et je devine qu’elle est très heureuse. Soudain, je m’interromps en cours de conversation, son pied s’est posé sur mon entrejambe et elle me caresse le sexe.

— Flo, quand même, quelqu’un pourrait te voir.

— Dis-moi que cela ne te plaît pas, Nicolas, et j’arrête immédiatement.

— Si, tu sais bien que j’adore mais pour le premier soir, tu fais fort. Mais continue !

La situation et son pied très habile font que très vite je présente une érection. Heureusement, la nappe de la table descend suffisamment bas pour que notre petit manège soit caché aux regards. Le désir l’emportant sur la retenue, j’ouvre la fermeture de mon jean pour en sortir ma verge. Florence, qui me connait par cœur, comprend ce que j’attends, me sourit, un sourire légèrement moqueur, et continue son massage pendant quelques minutes. J’essaye de ne rien laisser transparaître de mes émotions même si j’ai beaucoup de mal à rester de marbre. Mais quand elle réussit à emprisonner mon sexe entre ses deux premiers orteils afin de poursuivre sa masturbation, le plaisir devient tellement intense que je ferme les yeux un court instant. En les ouvrant, je m’aperçois avec gêne que ma voisine à son regard fixé sur moi. Je devine qu’elle saisit parfaitement ce qui est en train de se passer, mon visage est ...

... certainement des plus expressifs.

Tant pis, il est déjà trop tard, je ne peux plus me retenir et je jouis. Heureusement, j’ai juste le temps de mettre ma serviette sur mon gland afin d’éviter que mes vêtements soient tachés, cela aurait été bien compliqué pour quitter la table sans être remarqué.

Il me faut quelques secondes pour reprendre mes esprits et m’apercevoir que ma voisine lève son verre dans ma direction, un grand sourire aux lèvres. Il n’y a plus aucun doute, elle sait très bien ce qui vient de se dérouler. D’ailleurs, elle dirige maintenant son verre levé vers ma femme, qui la remercie en lui rendant la pareille et en lui adressant son plus beau sourire. En revanche, son compagnon semble ne s’être aperçu de rien, bien trop occupé à consulter son portable.

— Alors, cela t’a plu, mon amour, cette petite gâterie ? me demande mon épouse.

— Oui, c’était merveilleux, mais je pense que notre voisine a parfaitement compris notre manège, c’en est gênant.

— C’est même absolument sûr, son sourire quand elle m’a regardée le prouve. Bon, elle ne semble pas avoir été choquée, je dirais même qu’elle a apprécié. Qui sait, elle ne refuserait peut-être pas un plan à trois ou à quatre si son homme voulait se joindre à nous.

— Le moins qu’on puisse dire, c’est que tu ne perds pas le Nord ! Ah, voilà le plat, cela va permettre de poursuivre notre dîner.

La fin du repas est des plus agréables et nous conversons de tout et de rien. Nos voisins, arrivés avant nous, viennent ...