1. Les Chevaliers du Zodiaque : les vices du Sanctuaire (3)


    Datte: 24/05/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Nkari, Source: Xstory

    ... détail qui lui échappait, la voilà repartie à l’assaut de mon sexe, pour mon plus grand bonheur. Je suis de retour au Paradis. Ces trucs qu’elle effectue avec sa langue et ses lèvres, on ne m’avait jamais fait ça. C’est absolument divin. Elle utilise même ses dents. Le premier coup, quand je l’ai vue sortir les crocs, j’ai eu peur pour mon gland, mais le résultat a été plus qu’étonnant. La pression des dents n’est pas suffisante pour mettre mon membre en danger. Elle est quand même douloureuse, mais dans le bon sens du terme. C’est le genre de douleur qu’on redemanderait mille fois et qui est capable de te faire décoller. D’ailleurs, je commence à ne plus tenir en place tellement je prends mon pied comme je ne l’ai jamais pris.
    
    — Doucement, cow-boy, tire pas plus vite que ton ombre ; mamie tient à en profiter aussi !
    
    Elle ralentit donc la cadence, histoire que je reprenne mon souffle, me lèche sur toute la longueur de mon membre et finit par m’emboucher les couilles. Elle me malaxe bien l’ensemble dans sa cavité buccale tout en me foudroyant du regard.
    
    Finalement, elle semble décider qu’elle a assez dégusté et veut passer aux choses plus sérieuses. En quelques mouvements, ses habits sont déchiquetés et la voilà à poil. Elle arrache aussi mes derniers remparts vestimentaires. J’essaye de la prendre dans mes bras pour l’enlacer mais elle me repousse, me plaque sur le canapé et commence à m’enjamber.
    
    — Doucement, mon chou, pas de gestes brusques. Laisse-moi agir à ma ...
    ... guise. Tu vas voir, mamie va te faire un bien fou, mon agneau.
    
    Par contre, pourrait-on arrêter avec le « mamie » ? Je n’arrête pas de repenser à ma grand-mère maternelle, Anisette. Je la vois en pleine action avec sa peau qui tombe, ses croûtes et toutes ses rides. Ce n’est pas vraiment ce qu’il y a de plus excitant. Mon père l’appelait « Mémé Traînée ». Enfant, je n’ai jamais su pourquoi, mais je crois que je commence à comprendre maintenant.
    
    Elle s’empale sur ma queue, et moi j’oublie instantanément ce à quoi je pensais. C’est comme si, toute ma vie, j’avais eu le désir de planter mon dard dans son antre sans que je ne le sache. Toute mon existence n’a été que le prologue de ce moment. Je suis comme chez moi, ici. Merde alors, jamais une femme ne m’avait fait cet effet. Quel est donc son pouvoir ?
    
    Elle coulisse, elle ondule, elle danse sur ma pine. Mon Dieu, qu’elle est douée ! Elle fait monter dangereusement la pression mais sait comment me retenir au bord du gouffre sans que je n’y tombe. Elle maintient le plaisir à son paroxysme par de savants mouvements du bassin. L’émotion va me rendre dingue ; c’est une vraie torture, une très délicieuse torture. D’habitude, je tiens une dizaine de minutes – mon endurance n’a toujours été que dans la moyenne – mais là, ça fait pas loin d’une demi-heure qu’elle me procure ses soins et je n’ai toujours pas joui, même si j’ai depuis tout à l’heure l’impression que ça va arriver d’une milliseconde à l’autre. C’est horrible comme ...
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