Les pilules de sexe (6) - Histoires de Sexe

Les pilules de sexe (6)

... vêtements. Je touchai la porte et passai au travers. Invisible et intangible, parfait !

Je sortis et me dirigeai chez Elena. J’avais peur d’être vu même si c’était impossible, mais si la pilule avait un temps d’activité, j’étais mort. J’entrai dans sa chambre.

Elle ferma sa porte à clé, on était à présent seuls. Elle se déshabilla entièrement, elle était magnifique. Moins sexy qu’Ambre, mais une vraie bombe. Ses cheveux frisés mi-longs et ses lèvres brunes lui donnaient déjà beaucoup de charme, mais ses courbes, ses seins et ses tétons bruns, son sexe épilé et son cul, mon Dieu !

Elle se mit à caresser ses seins et son sexe délicatement puis y entra deux doigts. Ses gémissements m’excitèrent et je me mis à me masturber. J’aurais bien voulu lui sauter dessus, mais je ne pouvais pas, déjà que le voyeurisme n’était pas très bien, autant ne pas rajouter un viol à la liste...

J’avais du mal à cacher mes gémissements, mais j’y parvenais. J’aurais tellement aimé rentrer mes doigts dans son sexe à sa place, la doigter lentement plus à toute vitesse comme elle le faisait. Caresser et lécher ses seins.

— Mmh... Aah...

Oh ces gémissements devenaient plus forts, m’excitant encore plus. Je la vis sortir de son tiroir un oeuf vibrant, cette ...

... partie allait me plaire. Elle gémissait au contact vibrant du sex-toy et se cambrait.

Sa chatte commençait à luire et j’avais envie de la relécher, je prenais du plaisir à me branler sur ce corps discret. C’était excitant de n’être pas vu alors que j’étais juste face à elle.

Elle était si bonne. Elle se cambra plus violemment et jouit, elle reprit son souffle et replaça son jouet sur son sexe trempé. Les vibrations la firent grimacer et trembler, elle gémissait et haletait.

Son sex-toy ne lui faisait pas autant de bien que celui d’Ambre, mais ça se voyait qu’elle prenait son pied. Et dire que tout ceci n’aurait pas été possible sans ces pilules.

Elle plaça sa main sur sa bouche, étouffant un cri de plaisir alors que sa mouille fut éjectée telle une fontaine, c’était impressionnant. Elle plaça alors l’oeuf sur son anus et lâcha une série de petits cris et de gémissements.

Ça lui faisait moins de bien, mais c’était tout aussi excitant, je ne pouvais plus tenir. J’envoyai la sauce sur son tapis et soufflai. Je l’entendis crier de surprise et me fixer.

— Comment t’es rentré, s’écria-t-elle sous la surprise.

Oh le con ! J’étais le roi des cons, incroyablement gêné et honteux, elle venait de me voir, et ce, parce que j’avais joui.