1. Les plaisirs de la tablette au lit


    Datte: 23/05/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... derrière en travers du lit avec une telle ardeur qu'elle en mordit dans la couette pour ne pas hurler de plaisir. Puis elle le chevaucha, faisant danser ses plantureux nichons et rouler son nombril avant qu'elle ne se retourne pour lui offrir le spectacle à ses yeux somptueux de sa croupe en mouvement. Lorsqu'il avait bien maté sa raie longue s'ouvrant sur un anus bien rose, il y mettait la langue et Paula, confiante, attendait la sodomie qui devait conclure leurs ébats. Elle adorait sentir la giclée de sperme dans son rectum après l'avoir entendu claquer la peau de son ventre sur ses fesses et senti ses couilles battre contre sa chatte. Vidé, fiché en elle, il attendait que son pénis se ramollisse avant de basculer sur le côté et de se laisser aller à un sommeil apaisé. Trop excitée pour dormir, Paula le regardait avant d'éteindre la lumière et le rejoindre dans les bras de Morphée. Comblée et repue.
    
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    Ce jour là, il faisait chaud et Paula était à sa table de travail pour traduire en danois un texte particulièrement torride d'Anaïs Nin. Comme souvent lorsqu'elle plongeait dans ses textes, elle se caressait les seins d'une main et c'est pourquoi elle ne portait pas de soutien-gorge au travail, sa tenue se limitant à une robe de plage dont elle avait fait glisser les bretelles. Elle posait même une serviette sur son siège pour éviter que l'humidité de sa vulve ne provoque des taches difficiles ensuite à effacer. "Je baise en traduisant", disait-elle souvent à son ...
    ... amant.
    
    Le passage qu'elle venait de traduire l'avait mise en émoi. Anaïs Nin comparait l'accouplement lesbien à l'hétérosexuel et célébrait ce dernier en évoquant avec précision le choc des peaux, le délicieux "coup de poignard" du pénis dans une chatte trempée qu'elle préférait à l'évidence au frottis des vulves. Ce n'était pas exactement un hymne à la bite mais ça y ressemblait fort. Anaïs Nin écrivait :"Elle remarqua que ce chant cadencé irritait Leila qui ne voulait pas l'entendre. C'était tellement explicite, tellement femelle; cela trahissait la pénétration par le mâle; chaque poussée faisait échapper un petit cri de cette blessure symbolique. Dans tout ce que faisait les femmes entre elles, jamais elles ne pourraient faire entendre cette chanson vaginale ni ces cris cadencés qui montent à l'infini; seul l'assaut répété de l'homme, comme autant de coups de poignard, pouvait faire naître cette extase".
    
    Paula fut tellement chahutée après avoir traduit ce texte de l'anglais au français qu'elle se leva boire un verre d'eau pour se calmer les sens. Par la fenêtre, elle vit Cédric allongé sur un bain de soleil près de la piscine privée du couple. Il bronzait nu, comme souvent, tout en lisant un livre. Déjà bien échauffée par son travail, Paula ressenti dans son bas-ventre une onde brûlante qui ne la trompa pas. Elle avait envie de baiser. Elle but son verre, rajusta sa robe et s'en alla d'un air négligent rejoindre son amant.
    
    - Alors, ça va la bronzette ? Tu n'as pas ...