1. Les dessous d'une peite villle de province (10)


    Datte: 23/05/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: caribonex, Source: Xstory

    ... plaisir ; je n’avais jamais vu cela mais l’important est qu’ils soient heureux.
    
    Pour ma part, je le suis, je suis passé de ses seins tendus à sa petite chatte délicieuse que je trouvé déjà presque inondée. Son goût me rappelle un peu la mangue et mes bruits de bouche sont un écho à ses commentaires
    
    — Oh il me bouffe bien chéri, sa langue puuutain, j’adore, je lui coule dans la bouche, tu aimes ?
    
    — Oh, oui, je suis déjà tout tendu
    
    — Tiens goûte mon jus mon chéri
    
    J’écarte ma bouche le temps qu’elle récolte sa cyprine avec les doigts et quand je lève les yeux, vois qu’elle les lui fait lécher et que son visage exprime une totale béatitude. Elle gémit de plus belle quand je lape sa chatte à grands coups de langue puisqu’elle semble vraiment aimer cette façon de faire. A te point que son langage change encore puisque j’ai droit à « oh viens me la mettre, j’en peux plus » et « prends moi en levrette avec ton chibre allez »
    
    Je mets un point d’honneur à m’exécuter, même si je prends le temps de savourer la vision de ses fesses ainsi surélevées et de sa chatte luisante et prête à m’accueillir. J’y vais presque d’un coup et comme un soudard vu que c’est ce qu‘elle demande en braillant presque.Et s’il n’y avait qu’elle !
    
    Jean aussi m’encourage par ses « vas y prends la fort, elle adore,bourre lui la chatte, oh quelle queue, il t’en met chérie hein ?
    
    — Oui, oui encooore
    
    J’ai bien conscience de n’être qu’une pièce rapportée, qu’une espèce d’accessoire qui ...
    ... renforce leur relation, mais je veux bien être un accessoire souvent car si c’est bon pour elle, c’est délicieux et excitant pour moi. Sa chatte est un vrai fourneau et je peux me lâcher sans crainte, elle ne veut et n’attend que cela. Je me colle contre elle caresse ses seins par dessous et donne de grands coups de reins pour son, notre plus grand plaisir. Jean présente sa verge à sa femme qui engloutit le phallus dressé comme une furie et le pompe avec ardeur. En quelques minutes il est au bord de l’apoplexie et se recule pour souffler un peu, avant de recommencer à se branler devant son visage. Moi je me régale à la prendre, à la sentir vibrer, à la sentir couler sur ma queue.
    
    — Oh oui, branle toi en même temps ma chérie ! S’exclame Jean et je sens presque tout de suite que Priya se caresse. Elle y va furieusement et son tempérament de feu m’encourage encore. Je suis bien au fond de son vagin, mes mains serrent ses hanches pulpeuses et je joue le métronome humain, sortant presque entièrement ma queue avant de replonger en elle. La sueur me coule un peu dans les yeux, mes oreilles sont soumises à un feu roulant d‘encouragements bien hards et je me régale. C’est frais, joyeux, sans chichis, juste de la bonne baise très intense.
    
    Jean lance soudain un « j’en peux plus, je jouis, prends tout ! » avant d’émettre des râles et de jouir sur le visage de Priya qui, la bouche ouverte essaye de happer les quelques jets de sperme qui ont fusés. Jean s’assied rapidement et les yeux dans ...
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