1. La révélation !


    Datte: 22/05/2023, Catégories: fh, poilu(e)s, hotel, voyage, fsoumise, miroir, Masturbation facial, Oral préservati, pénétratio, sm, attache, fouetfesse, confession, extraconj, dominatio, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... j’allais utiliser la « permission » accordée pour ce genre de situation. Je le lui dirai si je le fais vraiment, mais après, une fois rentrée, en confidence après lui avoir montré combien il m’avait manqué.
    
    J’ai des besoins. Mon mari le sait, mais il en est le grand bénéficiaire. Il le comprend si bien qu’il m’a dit une fois, après une étreinte torride :
    
    — Tu sais, j’ai conscience que pour toi, pendant tes missions qui durent, ce soit difficile. Nos petits jeux par Skype et tes jouets ne remplaceront jamais un vrai « contact ». Si tu veux, mais de façon exceptionnelle, tu peux prendre un amant, mais un inconnu, personne que tu connais, juste pour une fois, pour te satisfaire. Et si c’est le cas, je veux que tu me le dises. Pas de mensonge entre nous.
    
    J’avais fait celle qui voulait refuser, se faire prier, mais en réalité il avait raison. Jamais je ne l’aurais trahi, même pour calmer ces braises qui me consumaient… Avec son accord, c’était différent.
    
    Je n’avais pas abusé… juste quelques rares fois et jamais pour des missions de moins de trois semaines. Je le lui disais. Il enregistrait, mais on en parlait plus.
    
    Alexandre est l’homme de ma vie. Je l’aime et je ne ferais rien qui puisse le trahir d’une façon ou d’une autre. Sa proposition était la preuve que lui aussi m’aimait, mais qu’il comprenait que parfois le corps est un tyran.
    
    Le barman me fait un signe de la main lorsqu’il me voit arriver avec une petite robe moulante, assez courte qui me met bien en ...
    ... valeur. Il n’est pas le seul. Les clients hommes et femmes me suivent du regard.
    
    Clientèle locale, mais filtrée par le prix des chambres. Le silence ne dure pas. Chacun reprend sa conversation. Le barman me félicite. On peut être gay et savoir reconnaître la beauté d’une femme. En fait, c’est autre chose que de la beauté, c’est de la féminité, de la sensualité.
    
    Je déguste mon verre. Ce n’est pas la première fois que je « drague » de cette façon. C’est la technique que j’applique chaque fois, chaque rare fois. Mais d’habitude, la clientèle est plus internationale et les codes sont bien connus. Je ne recherche pas une « beauté ». Ce n’est pas ce dont j’ai besoin et d’ailleurs je me sens moins coupable si mon amant est quelconque, voire moche. Je satisfais un besoin, pas une liaison.
    
    Le portefeuille posé sur le bar est la première chose que je remarque. Il est arrivé sans bruit. Dans le grand miroir, je le découvre. Si c’est le candidat, je n’aurai pas à me sentir coupable pour sa beauté. Il est costaud, râblé, le visage marqué. La chemise entrouverte laisse passer des poils dont on devine qu’ils lui font une fourrure.
    
    Il me parle. Je me retourne vers lui. Mon sourire de politesse semble lui donner confiance. Je ne comprends pas un mot de ce qu’il me dit, mais en tout cas ce n’est pas vindicatif. Je croise le regard du barman qui semble sur le point d’éclater de rire.
    
    Comme je ne réponds pas, je vois l’homme ouvrir son portefeuille et en extraire des billets – pesos ...
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