1. La révélation !


    Datte: 22/05/2023, Catégories: fh, poilu(e)s, hotel, voyage, fsoumise, miroir, Masturbation facial, Oral préservati, pénétratio, sm, attache, fouetfesse, confession, extraconj, dominatio, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... sur une traînée, une chienne, une esclave, une femme à qui l’on ne veut pas donner sa liqueur, une femme qui ne mérite pas d’avoir du plaisir.
    
    Je n’ai même pas honte d’être traitée ainsi. On peut voir aussi cela comme un hommage, un remerciement, comme l’homme ne peut pas juter en moi par sécurité, il me montre au moins combien je lui ai apporté de plaisir.
    
    La source se tarit. Je sens des traînées sur mon visage, sur mes épaules, sur mes seins.
    
    J’ouvre les yeux.
    
    Il est debout et examine son œuvre. Il me parle, et je traduis, du moins j’imagine ce que j’aimerais entendre :
    
    — Bien, très bien. Tu es une belle salope. Tu m’as pompé bien comme il faut. Regarde comme…
    
    Il m’aide à me relever, me pousse vers le mur, vers la coiffeuse, meuble totalement rétro que l’on ne trouve même plus chez nos grands-mères ou en version moderne comme table de maquillage.
    
    Il me faut quelques secondes pour réaliser que celle que je vois, c’est moi ! Mes cheveux sont plaqués. Je transpire, je goutte, je suinte. Le foutre, ma salive, la sueur font de moi une horreur, une caricature de femme.
    
    Je vais crier, protester et puis je vois son sourire. Il est fier de lui. Suis-je fière de moi ?
    
    Si l’on me voyait ? Si mon mari me voyait ainsi… moi qui m’arrange pour, même dans les moments intimes, même au plus fort du sexe, rester femme, même avec son sperme dans ma bouche, même mon cul envahi par son mandrin, même en criant ma jouissance !
    
    Si mes collègues me voyaient ? Moi, la ...
    ... patronne, celle qui donne des ordres, qui parfois n’accepte pas la contradiction. Oui s’ils me voyaient, esclave, soumise, battue, humiliée, souillée ?
    
    Pourtant, je me sens étrangement bien malgré cette apparence… Pourquoi ?
    
    Oui, pourquoi ? Alors que l’homme, celui qui me manipule, me soumet, me commande sans que je proteste, tourne les deux miroirs de part et d’autre du central pour m’offrir une vision encore plus complète de la femelle attachée… oui, pourquoi est-ce que je me sens bien ? Affreuse, mais bien, presque fière…
    
    Il plaque mon corps sur la table. Je vois de près… de très près mon visage souillé.
    
    Il me fait écarter les jambes.
    
    Je le vois reculer, aller vers le lit, fouiller dans son sac et en extraire un objet. Objet qu’il approche et me montre ostensiblement. C’est un martinet, ou un petit fouet, noir, avec un manche de même couleur. Il l’approche mon visage. Il passe les lanières sur mon dos, dans ma raie des fesses.
    
    Il triche. Ce fouet ne fait pas partie du deal. Il joue avec moi, me provoque. Si je dis « no », c’est un mot universel. Il le promène pourtant, cela me chatouille. Par réflexe, j’ondule.
    
    Je vois son bras se lever. Il va me frapper. Non, je ne veux pas, mais son sourire est si encourageant. Après tout, jusqu’à maintenant cela n’a été que bonnes découvertes, même si c’est…
    
    « Clap » ! Je n’ai rien dit et il a porté le coup.
    
    C’est différent de la tapette. Moins fort, plus étalé. J’ai l’impression que toutes mes fesses ont été ...
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