1. La révélation !


    Datte: 22/05/2023, Catégories: fh, poilu(e)s, hotel, voyage, fsoumise, miroir, Masturbation facial, Oral préservati, pénétratio, sm, attache, fouetfesse, confession, extraconj, dominatio, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... non.
    
    Des appuis prolongés sur l’intérieur des cuisses me font écarter les jambes.
    
    Il va taper mes fesses. Non. Toujours ce jeu du doux et du râpeux. Je me surprends à mieux apprécier la rugosité qui me trouble.
    
    Il me montre le manche. Il me paraissait anodin, mais de plus près il a la forme d’un phallus avec l’extrémité sculptée comme un gland. Il me le donne à sucer. Il mime une fellation en le poussant dans ma gorge, à charge pour moi de garder les lèvres fermées sur le manche et le gland sur lequel il me fait insister.
    
    C’est lui qui l’utilise maintenant pour ramper sur mon corps, sa direction est évidente, il le fait descendre, il frotte ma fente, s’insinue dans le sillon de mes fesses. Un instant, je crois qu’il va me prendre le petit trou… mais non, c’est ma fente qui s’ouvre pour lui.
    
    — Ahhhh !
    
    Je ne peux retenir ce soupir alors que le manche entre en moi.
    
    Il me parle. Je traduis « pute » et « exciter », mais ce ne doit pas être la vraie signification. De toute façon, il ne m’en laisse pas le temps. Deux ou trois mouvements et il retire l’objet pour me le montrer.
    
    Il est humide.
    
    Putain, je mouille, ou bien je suis encore humide de tout à l’heure. En tout cas, il me le donne à goûter. Il me montre sa langue. Je sors la mienne et lèche mon propre jus devant lui. Je frémis de la perversité de la situation. Que penserait un spectateur de cette femme qui se comporte ainsi ? Je suis folle, je n’aurais pas dû accepter.
    
    — Ahhh !
    
    C’est avec sa ...
    ... main qu’il a claqué ma fesse, me surprenant, la langue encore sur la sucette imprégnée de ma mouille.
    
    La tapette reprend sa forme. L’homme a refermé sa main sur le manche encore gluant. Je vois son regard changer. Il tapote mon sein, puis l’autre. Son bras se perd derrière mon dos. Je tourne la tête. Sa main me ramène pour regarder devant.
    
    — Ahhh !
    
    Le coup n’a pas été fort, mais bien que je m’y attende, je sursaute, puis il est suivi par un autre, puis un autre. Instinctivement, je cherche à me préserver, mais cela le fait rire. Je sautille d’une jambe sur l’autre. Les coups se multiplient, transformant mes fesses en une zone dont je devine la rougeur, j’en ressens la chaleur.
    
    Il me fait face. Son sexe tendu est presque plaqué contre son ventre et sa toison. Ses mains se plaquent sur mes seins et les malaxent sans douceur… chacune se saisit d’un téton. Il me regarde, nos regards se croisent, je suis littéralement hypnotisée. Alors il commence à rouler mes tétons entre ses doigts. C’est une caresse que j’aime normalement, mais le plaisir qui me fait gémir et embue mes yeux se transforme avec une douleur qui me chauffe les reins.
    
    Je résiste, je sais pourtant qu’il me suffit de relâcher la corde pour me libérer.
    
    La douleur se propage. Je vais crier lorsque, brusquement, il cesse et pose ses lèvres sur chacune de mes pointes, érigées comme jamais. Sa salive rafraîchit, console, soigne.
    
    Pendant ce temps, il a posé sa main sur ma fente. Une crispation et deux ...
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