1. Cédric n'est plus un enfant (4)


    Datte: 22/05/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Cedric, Source: Xstory

    ... claquements poisseux sur son bas-ventre s’accélèrent et il commence vraiment à se demander s’il va tenir. Sera-t-il à la hauteur de ce que cette salope semble exiger, de ses standards lubriques ? Ou va-t-il se ridiculiser et jouir en elle trop tôt juste parce qu’elle accélère un peu ? Il a envie de lui dire des choses qu’on ne dit pas à sa mère et même de l’insulter, de la traiter de pute, de salope... de chienne même. Il l’imagine avec un collier-de-chien, la tenant par une laisse en la prenant en levrette. Une longue série d’expressions passe dans sa tête et son imagination se cristallise sur « garage à bites ».
    
    Il ne le sait pas encore, mais désormais, dans son esprit, les mots « maman, mère » seront rangés à côté de « salope et garage à bites ». L’effet de ces mots dans son imagination est puissant et très vite, il sent monter la jouissance. Instinctivement, il empoigne les hanches un peu épaisses de sa mère et prend le contrôle de la pénétration, la pilonnant comme un marteau piqueur au rythme des « clacs » poisseux qui résonnent. Il l’entend à ses oreilles qui geint des « oui » et des « vas y, baise-moi » presque implorants. C’est tout juste s’il se retient de lui enfoncer un doigt dans le cul. Il ne faut pas plus de quelques secondes de cette désinhibition pour que tout son corps se crispe, que ses abdos le redressent presque assis alors que ses mains ...
    ... s’agrippent et écartèlent le cul maternel.
    
    Il n’y tient plus et dans un râle, il crie presque un « putain salope » qu’il n’a pas le temps de regretter quand elle lui répond dans ce qui semble être une même jouissance « oh oui, vas-y comme ça ». Il décharge en elle tout son foutre, tout son sperme, sa semence. C’est une véritable libération. Il a l’impression que jamais il n’a éjaculé autant, que jamais ses jets n’ont été aussi puissants. Encore une fois, il lui balance « Salope » et elle lui répond avec le même enthousiasme « Redis-le encore ». Dans les derniers coups de bite désordonnés, il l’embrasse à pleine bouche alors qu’il sent les dernières contractions de son gland qui expulse ce qui lui semble être des litres de foutre. En quelques mots, en quelques coups de reins déchaînés, en quelques secondes, tout a changé. Ce matin, pas hier soir, en choisissant de se vider les couilles dans la chatte de sa mère, en la traitant de salope et quand il a compris qu’elle le voulait aussi, il a senti passer un cap.
    
    Ils s’effondrent sur l’oreiller. La jouissance s’estompe. Il n’y a plus de gêne, plus de tension indéfinissable entre eux. Ils échangent des baisers. Pas ceux d’une mère et d’un fils, mais ceux d’un couple d’amants pas tout à fait rassasiés. C’est dimanche matin. Il n’y a rien qui presse, rien qui attende, personne à voir. Ils ont la journée pour eux... 
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