1. Sa meilleure petite grande amie


    Datte: 22/05/2023, Catégories: fh, hplusag, jeunes, boitenuit, Oral pénétratio, nonéro, rencontre, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... complètement à moi !
    — Tu pourrais demander la permission avant de te servir de la sorte !
    
    Sans cesser d’embrasser mes seins, il demande :
    
    — J’en fais de trop ?
    — Avec toi, c’est tout ou rien ! Je savais que tu… que je ne t’étais pas indifférente, mais je ne pensais pas que c’était à ce point ! Mais… mais ça ne me dérange pas…
    — Dans ce cas, je continue !
    
    Ses baisers se font beaucoup plus voraces, et ses mains tellement brûlantes. J’en viens à me demander s’il n’a pas versé quelque chose dans ma boisson, mon corps est devenu si réceptif ! Ses mains me farfouillent partout, visage, cou, seins, ventre, pubis, cuisses, genoux, et j’arrête là l’énumération. Actuellement, ses doigts s’égarent entre mes poils soyeux.
    
    — Tu as une mignonne petite touffe !
    
    Je me contente de sourire. Soudain, Naudin change de position et s’installe entre mes jambes. Il se plaque contre moi, me faisant bien sentir son sexe si dur, tandis qu’il m’embrasse fiévreusement. J’adore son poids sur moi. Puis il se relève :
    
    — Une très mignonne petite touffe…
    
    Impudiquement, il frotte son gland écarlate sur mes poils soyeux, s’amusant ainsi durant de longues secondes. Puis, devenant plus précis, sa verge entrouvre mes lèvres déjà humectées. Je pousse un petit cri quand son méat vient titiller mon clitoris ultra-sensible.
    
    Vicieusement, Naudin frotte sa tige sur mon petit bouton en feu, ce qui me fait frémir de façon dantesque. Ce petit vicieux s’y connaît, dirait-on. Je suis certaine que ...
    ... diverses femmes l’ont initié à des tas de choses dans ce club, voire dans cette loge que nous occupons.
    
    Frémissante, je proteste faiblement :
    
    — Oooh ! Dou…doucement… c’est… c’est trop fort !
    — Rien n’est jamais trop fort dans le plaisir, petite coquine !
    
    Avec un sourire insolent, il continue longuement son manège vicieux, je me laisse faire, comme abandonnée sous cette verge impertinente. Je commence à comprendre pourquoi certaines femmes sont prêtes à faire des folies pour un homme qui sait s’y prendre avec elles.
    
    Soudain, il penche son visage vers le mien :
    
    — J’ai trop envie, Claudine… beaucoup trop…
    — Alors, viens…
    
    Je sursaute quand sa verge entre en moi avec facilité. À moitié dans la pénombre, je vois une colonne de chair disparaître dans mon bosquet, puis envahir mon intimité détrempée. Ça me procure une telle sensation de plaisir que j’en oublie de respirer, tellement l’intensité est forte !
    
    C’est quand il commence à me pistonner lentement que je retrouve mon souffle et ma voix. Ses va-et-vient s’amplifient, s’intensifient crescendo. Sans aucune honte, je me laisse aller, sans me soucier de qui peut m’entendre :
    
    — Oooh oui… oooh oui ! Vas-y ! Oui, comme ça !
    
    Son sexe en moi, son corps collé contre le mien, je décolle une première fois vers d’autres cieux, complètement ballottée par d’innombrables vagues de plaisir qui me ravagent sans répit de la tête aux pieds. Je suis ailleurs, perdue dans les nuages, à cent mille lieues du sol, à la fois ...
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