1. Sa meilleure petite grande amie


    Datte: 22/05/2023, Catégories: fh, hplusag, jeunes, boitenuit, Oral pénétratio, nonéro, rencontre, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... toi aussi, tu es attiré par moi. Est-ce que je me trompe ? Oui, tu dois répondre !
    — Non, tu ne te trompes pas.
    
    Un grand poids s’envole de mon corps. Finalement, cette soirée dans ce club libertin aura été une bonne chose, même si les choses ont tourné autrement. Je continue :
    
    — T’es crétin dans ton genre ! Pourquoi tu ne me l’as pas dit plus tôt ?
    — Je… j’imaginais te conserver comme ma plus grande amie, ma confidente… Je me suis dit que ça serait mieux comme ça, que notre relation resterait pure…
    — En clair, tu me collais le rôle de la sainte, et tu conservais tes putes hygiéniques !
    
    Je vois bien qu’il est assez gêné :
    
    — Hem… il y a de ça…
    — Tu sais que le rôle de la sainte n’est pas toujours évident à porter ?
    — J’imagine…
    — Bon, justement, Naunau, imagine un peu qu’un autre homme me fasse la cour, me séduise et que je vive avec. Cet autre homme aurait pu être jaloux et m’interdire de te voir.
    — Tu lui aurais obéi ?
    — Je ne sais pas, je ne pense pas, mais qui sait ?
    
    Il ne répond pas, assez confus. Je suppose qu’il s’était imaginé un déroulé sans accro, comme du papier à musique, mais la vie vous réserve bien des surprises. De plus, je n’allais pas attendre cent sept ans après lui. Néanmoins, si je veux que les choses s’éclaircissent, je sens que c’est à moi de faire le fameux premier pas, celui qui coûte le plus, comme il me l’a si bien dit auparavant.
    
    Je poursuis sur ma lancée :
    
    — Je suis ta Princesse, n’est-ce pas ?
    — Oui, tu es ma ...
    ... Princesse.
    — Et en tant que Chevalier servant, tu obéis à ta Princesse, n’est-ce pas ?
    
    Il se met à sourire :
    
    — Oui, je suis censé t’obéir… dans les limites du raisonnable…
    — Tu m’aimes, plus qu’une simple amie, n’est-ce pas ?
    
    Il marque un certain temps d’arrêt. Je vois bien qu’il hésite, qu’il l’a sur le bout de la langue, qu’il souhaite me dire quelque chose, mais qu’il semble avoir peur de briser notre lien si particulier. Puis, je l’entends me dire :
    
    — Oui, je t’aime énormément… Mais je ne veux pas perdre ma grande amie.
    
    De mon autre main, je caresse sa joue :
    
    — Tu peux avoir les deux en même temps, tu sais…
    — Le beurre et l’argent du beurre ?
    — En quelque sorte.
    — Et la crémière en prime ?
    — Tu fais allusion à quoi quand tu dis ça ?
    — À ceci…
    
    Sans crier gare, il pose ses lèvres sur les miennes, tandis que sa main posée sur mon ventre s’empare avidement de mon sein par-dessus l’épaisseur du bustier. Ça commence très doux, puis ça s’enfièvre de façon exponentielle ! J’ai l’impression que Naudin rattrape le temps perdu, ce qui n’est pas une mauvaise idée, mais s’il continue ainsi, il va finir par me dévorer toute crue !
    
    Emportée par sa fièvre, mes doigts dans ses cheveux, moi aussi, je le dévore, l’attirant contre moi !
    
    Dans la foulée, je m’aperçois que Naudin en a profité pour extirper mes deux seins de leurs coquilles, et que sa main joue avec eux, titillant mes tétons exacerbés, et qu’il fait ça plutôt bien. Je suppose que son expérience dans le ...
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