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Angela, belle-mère cochonne, se tape son fils... (1)
Datte: 21/05/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: tardemars, Source: Xstory
Je m’appelle Carole, j’ai 35 ans. Un jour, en rentrant à la maison après mon travail, j’ai trouvé sous notre lit une petite culotte de femme qui ne m’appartenait pas. J’étais stupéfaite. C’était une petite culotte rouge en dentelle très sexy. Immédiatement, j’ai compris qu’elle n’était pas arrivée là par hasard et qu’il n’y avait qu’une solution : mon mari me trompait. Il avait dû amener sa maîtresse ici, et ils avaient baisé dans notre propre lit. Ensuite, la poufiasse avait juste oublié sa culotte (les poufiasses oublient toujours de remettre leurs culottes après l’amour, c’est bien connu). J’ai donc échafaudé un plan pour découvrir qui était cette garce. Quelques jours après, je suis rentrée à la maison à l’improviste. Je savais que Martin ne travaillait pas ce jour-là. S’il devait choisir un moment pour me tromper, ça serait celui-là. J’ai ouvert doucement la porte de la maison. Depuis le couloir d’entrée, j’ai entendu des gémissements féminins qui venaient du salon. Il était probable que ces gémissements appartenaient à la même salope qui baisait avec mon mari. Furieuse, j’ai donc ouvert la porte de la pièce et là, je les ai vus, lui et sa... mère. Vous avez bien lu : c’était sa mère qui était à poil, penchée en avant sur la table de la salle à manger, ses gros seins carrément posés sur la table, son gros cul bien en arrière. Mon mari la tenait fermement par les hanches, les mains bien agrippées aux bourrelets de ses rondeurs, et il était en train de la ...
... pénétrer, la baiser énergiquement par-derrière. J’ai cru avoir un malaise : je ne m’attendais pas à ça. Une maîtresse OK, mais pas celle-là, quand même ! La mère de Martin s’appelle Angela, une arriviste, fille d’un ouvrier italien, qui avait trouvé en la personne de son père, industriel aisé, le parfait mari. Je me doutais que derrière ses airs de sainte-nitouche, c’était une cochonne. Elle ne m’avait jamais inspiré confiance. Mais de là à faire ce genre de choses avec son propre fils ! Ils tournaient le dos à la porte et ne m’ont même pas entendue rentrer. Et pour cause : ma belle-mère gémissait de plaisir, miaulait comme une chatte en chaleur. Mon mari, visiblement super excité, effectuait des va-et-vient énergiques dans sa vulve trempée avec ces bruits très caractéristiques : "flotch, flotch !". De temps en temps, il lui mettait une bonne claque sur les fesses et lui disait des mots doux de circonstance : — Putain maman, qu’est-ce que t’es bonne ! J’aime tellement te baiser ! — Ha oui mon chéri, ta queue est si grosse ! Mets-la-moi encore ! Je suis restée un moment sur place, pétrifiée, à les regarder, jusqu’à ce que Martin se retourne. Dire qu’il fut surpris de me voir est un euphémisme. Il est devenu blanc. Il s’est retiré de sa mère, le sexe trempé de cyprine blanche, en baragouinant : — Maman... il faut que tu regardes... Il y a un souci. — Quoi, mon chéri ? Tu n’as pas fini, pourquoi tu t’arrêtes ? Ma belle-mère se retourna à son tour. En me voyant, ...