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Stéphanie, chirurgienne et salope (14)
Datte: 08/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: xconteur7935, Source: Xstory
... m’embrasser longuement et langoureusement. Il est déjà 20h30 et je m’empresse d’aller prendre une douche. Après m’être légèrement maquillée, je me rends dans la chambre et je passe les vêtements que mon mari a préparés pour moi. La jupe courte dissimule tout juste le haut de mes bas, et en l’absence de sous-vêtements, je sens ma petite chatte s’humidifier, et mes tétons pointer sous la soie de mon chemisier. J’enfile mes escarpins et je pose devant une caméra en criant : — Je suis prête, mon amour !! — Inutile de crier ma chérie, il y a des micros dans la chambre !! me répond Anthony à travers la cloison. Mon mari a pensé à tout et je me sens encore plus rassurée. Je file dans le salon et j’attends, un peu anxieuse, l’arrivée de mes amants. Il est 21h30, et toujours personne. Je n’y tiens plus, l’angoisse monte ; pourquoi ne sont-ils pas là ? Il y a cinq minutes que je tourne en rond dans le salon lorsque j’entends la sonnette de la porte. Je me retiens de me précipiter vers la porte et c’est en faisant claquer mes talons sur le carrelage que je vais ouvrir la porte. Ils sont là et s’excusent pour le retard. Leur voiture est garée devant la maison et je commande la fermeture du portail pour qu’elle n’attire pas l’attention. Je les invite à entrer et je referme la porte derrière eux après avoir jeté un coup d’œil à l’extérieur pour m’assurer que personne ne les a vus entrer. Mon homme d’affaires me tend un bouquet de fleurs et se présente : — Je suis Philippe et ...
... je suis ravi que vous ayez pu nous recevoir ce soir. Je dois vous avouer que j’avais très envie de vous rencontrer. — Enchantée ; moi, c’est Stéphanie ! lui dis-je en lui tentant la main droite. Il s’en saisit et y pose un doux baiser. — Et moi, je suis Bruno, dit le second en prenant mon autre main pour y poser un baiser tout aussi tendre. — Vous souhaitez peut-être que je vous débarrasse ? dis-je d’une voix mal assurée. — Volontiers ! me disent-ils en cœur en me tendant leurs vestes. Je pose les vestes sur un fauteuil et je commence à me demander si je vais pouvoir aller plus loin. Ces hommes sont attirants, mais s’ils continuent avec leurs mondanités, je ne suis pas sûre de pouvoir me libérer pour m’offrir à eux. Je prends une rapide décision, je déboutonne deux boutons de mon chemisier et je viens me placer entre les deux hommes. Je me tourne vers Philippe et je lui tends mes lèvres. Il me regarde avec étonnement et me dit : — Vous semblez bien pressée, chère Madame !! — Je dois vous avouer que c’est la toute première fois pour moi et j’ai peur de faire machine arrière. Je vous en prie, faites ce pour quoi vous êtes venus avant que je ne change d’avis et je vous demande de me tutoyer. Moi seule utiliserai le vouvoiement. — Comme tu voudras !! me dit Philippe en me prenant les lèvres et en glissant une main dans l’ouverture de mon chemisier. Dans mon dos, Bruno fait glisser ses mains sur mes hanches et commence à me caresser les fesses à travers ...