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La jupe (7)
Datte: 21/05/2023, Catégories: Hétéro Auteur: trolive, Source: Xstory
... alors presque violemment deux doigts dans son con encore dilaté par sa baise de l’après-midi... — hannnnnn mmmhummmm. Elle s’arqua encore plus, son bassin cherchant ma langue pour enfin jouir... Je léchai à toute vitesse son clito en la baisant de deux doigts... Elle hurla sa jouissance en me maintenant le visage sur sa vulve. — haannnnnnnn ouiiiiiiii je jouiiiiiiis ouiiiiii ouiiiiiii ouiiiiii hannnnnnnnnnn. Je continuai doucement à laper sa mouille, sa chatte... mes doigts toujours plantés en elle. Ses spasmes de plaisir s’atténuèrent... Elle me dit : — Viens... Daniel... viens jouir en moi... Elle remonta les genoux sur ses petits seins... — Viens... répéta-t-elle. Je baissai mon slip et je m’enfonçai en elle... dans sa chatte brûlante... — Oui... oui... jouis en moi, me susurra-t-elle au creux de l’oreille, ses deux bras m’enserrant le corps, me berçant presque... Ses reins accompagnaient mes mouvements... j’essayai de me retenir... mais en vain, je sentis le plaisir monter... et je lâchai tout mon foutre en criant à mon tour... — Tiens... mhhhmmm ouiiiii... tiens... mhmmmm hummmm... — Jouis... jouis... murmura-t-elle presque tendrement. Je ...
... m’écroulai sur elle..... Elle me caressa le dos de longues minutes... je pleurai une énième fois... — Pleure... pleure... ça fait du bien... Son vagin expulsa ma bite mollassonne... — Ca coule partout... je dois me laver cette fois-ci... Elle me repoussa, et partit se doucher rapidement... je restai nu, assis sur le bord du lit... Elle revint dans la chambre, enfila son tee-shirt et sa jupe, chercha où mettre sa culotte souillée de mouille et du sperme de l’autre... elle n’avait ni poche ni sac... — Je la laisse... en vélo... pas pratique... — Daniel... je suis désolée pour tout ça... vraiment... mais il faut que je te dise... Patrick m’a invitée au montage d’une exposition le WE prochain... C’est à Rouen... J’ai accepté... Il faut qu’on... — Laisse-moi... s’il te plaît... laisse-moi... je crois que je préfère être seul, là... Elle resta un moment sans rien dire... puis annonça : — D’accord... on... je te téléphone demain... Elle partit sans se retourner, sans un "je t’aime"... sans rien. Le soir, je ramassai sa culotte et la portai à mon visage... Elle sentait la mouille et le foutre. Je sortis ma pine et je me branlai le nez perdu dans ces effluves mélangés.