1. La baleine rose (2/2)


    Datte: 21/05/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Philus, Source: Hds

    ... deux amies sécrétèrent toutes deux une cyprine abondante, les langues allaient et venaient, titillaient les clitoris, s’enfonçaient dans les vagins, se promenaient sur les anus et Martine jouit alors qu’elle ne s’y attendait pas. Machinalement, elle se contracta aussi sur le sexe d’Élisabeth qui éprouva tout pareillement un orgasme de belle ampleur. Les cris de plaisir étaient étouffés, car chacune des femmes avait la bouche et le nez enfouis dans la chair parfumée de l’autre, mais les bras serraient très fort et en disaient long sur l’intensité du paroxysme du spasme sexuel de chacune d’elle.
    
    On aurait pu penser que, les trois orgasmes consommés, Élisabeth et Martine en seraient restées là. Seulement, le coup d’envoi avait été donné et aucune des deux n’avait envie de voir la partie se terminer. Elles continuèrent à se faire jouir ainsi tout l’après-midi. Puis, n’ayant que le petit-déjeuner dans l’estomac, elles s’interrompirent à l’heure du dîner. En se recouchant, elles se caressèrent de nouveau et se procurèrent du plaisir jusqu’à une heure avancée de la nuit. Vers quatre heures du matin, n’y tenant plus, elles sombrèrent dans un sommeil réparateur et ce fut le personnel de ménage qui les réveilla vers midi. Les deux amies ne virent pas grand-chose de Monaco. Elles passèrent les quelques jours restants au lit et revinrent à Marseille avec de larges cernes bleutés sous les yeux. Il s’écoula trois semaines avant que l’on entendît à nouveau parler de la « Baleine Rose ...
    ... ».
    
    *
    
    C’est très gênée qu’Élisabeth ouvrit la porte à son amie ce soir-là. Elle n’osait pas regarder Martine dans les yeux et celle-ci s’en aperçut. Les deux femmes s’installèrent sur le canapé puis la maîtresse de maison servit machinalement deux verres de porto blanc. Elle finit par avouer.
    
    — Je voulais te parler Tine…
    
    — Oui, je m’en doutais, dis-moi le fond de ta pensée Zabeth, encouragea son interlocutrice. Il faut que ça sorte.
    
    Élisabeth continua, fixant son verre du regard comme si c’était avec lui qu’elle discutait.
    
    — J’ai passé avec toi une semaine extraordinaire et je n’ai jamais pris des pieds pareils. Quand je te vois ici, je n’ai qu’une seule envie, c’est de t’emmener dans mon lit et de te faire l’amour. Mais je repense à notre situation précédente et finalement je l’envie. Sans la « Baleine », nous n’aurions jamais fait ça ensemble et je voudrais que, sans perdre ce merveilleux souvenir, nous revenions à notre relation antérieure. J’espère que tu me comprends.
    
    — Oui Zabeth, je comprends. Moi aussi j’ai été émerveillée toute la semaine et je n’oublierai jamais toutes ces nuits de plaisir passées avec toi. C’est grâce à la « Baleine Rose » que nous avons connu cela, ce sera grâce à elle que nous reprendrons le cours normal des choses.
    
    — Tu crois ?
    
    — J’en suis certaine.
    
    Après le repas, devant une tasse de thé au jasmin, les deux amies reprirent place dans le canapé. Martine poussa l’ordinateur vers Élisabeth et dit :
    
    — Vas-y, ça te ...
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