1. La baleine rose (2/2)


    Datte: 21/05/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Philus, Source: Hds

    ... Elles s’y présentèrent le dimanche dans l’après-midi et s’offrirent un superbe restaurant en soirée. Toutes deux revenues tardivement dans leur chambre après une promenade le long de la côte, Martine qui manipulait une tablette déclara :
    
    — Demain, il pleut toute la journée, selon la météo.
    
    Élisabeth réfléchit une seconde puis avança, sur un ton badin :
    
    — On peut peut-être en profiter pour rester couchées, non ?
    
    Sur la même intonation, Martine répliqua :
    
    — On trouvera bien quelque chose pour s’occuper.
    
    Les deux amies rirent de bon cœur et se couchèrent sagement dans le grand lit de deux mètres de large.
    
    Le lendemain matin, après le petit-déjeuner et la toilette, Élisabeth admirait la mer, debout et nue derrière la porte-fenêtre. La pluie tombait uniforme et ininterrompue sous un ciel gris et les automobiles, réduites vues du cinquième étage, circulaient silencieusement sur le boulevard du Larvotto en lançant de considérables gerbes d’eau au pied des palmiers. Martine, sortant de la douche, s’approcha de son amie par-derrière et l’enlaça. Ses lèvres effleurèrent le cou d’Élisabeth qui pencha la tête sur le côté en fermant les yeux. Martine, de sa main gauche, lui caressa les seins tandis que la droite descendait doucement vers le mont de Vénus.
    
    — Tu n’as toujours pas épilé cette vilaine toison ? murmura-t-elle.
    
    — Je ne veux pas ressembler à une petite fille quand je me regarde dans une glace, répondit Élisabeth sur le même ton.
    
    Puis, oubliant sa ...
    ... question :
    
    — Viens, intima-t-elle en entraînant sa conquête sur le lit.
    
    Élisabeth se coucha sur le dos, les jambes à moitié écartées, les bras en croix. Quelques gouttes de cyprine accrochées à ses poils pubiens brillaient. Martine se mit à genoux entre ses cuisses et plaça ses mains sous ses fesses. Elle approcha ses lèvres de cette vulve rougie, luisante et déjà entrouverte. Elle fit jaillir sa langue et, pour la première fois, la planta dans le vagin de son amie. Élisabeth poussa un soupir sonore et ne put se retenir de passer ses doigts derrière la tête de sa compagne afin d’appuyer fort sur son clitoris en feu. Martine, qui avait une certaine expérience de la sexualité saphique, savait s’y prendre. Elle déglutissait longuement le lubrifiant intime qui dégoulinait des nymphes d’Élisabeth puis reprenait ses caresses linguales. La jeune femme n’était pas de marbre, aussi, l’orgasme vint rapidement et fortement. Elle hurla soudain d’une volupté sans bornes, projetant dans la bouche de Martine toute la cyprine que son vagin évacuait sous les contractions. Quand celles-ci cessèrent, Élisabeth remit les bras en croix tandis que son amante se redressa, les lèvres et les joues luisantes de plaisir. Elle se coucha sur son amie et l’embrassa fougueusement, enfonçant sa langue cette fois-ci dans sa bouche. Après un long baiser, Martine fouilla sous son oreiller et en sortit un double godemiché rose, imitant à la perfection un phallus masculin. Martine, que son cunnilingus avait ...
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