Mon épouse et les jeunes
Datte: 19/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: herowith1000eyes, Source: Xstory
Depuis que nous avons des enfants, Anna et moi n’avons plus mis les pieds dans une discothèque. Mais ce soir, ils sont chez leurs grands-parents et nous en profitons pour sortir dans une boîte bien connue de Bruxelles qui a récemment rouvert ses portes après un incendie.
A l’entrée, la clientèle est bien plus jeune que nous, mais le portier, après avoir reluqué mon épouse de la tête aux pieds, nous laisse entrer : la petite robe noire et les sandales à hauts talons qu’elle porte ne l’ont visiblement pas laissé indifférent.
Nous nous installons à une table après avoir pris un verre au bar : bière trappiste pour moi, vodka orange pour Anna, qu’elle boit rapidement avant rejoindre la piste. Impossible qu’elle n’attire pas l’attention de l’un ou l’autre coquin : une femme de quarante ans qui se trémousse seule sur la piste, ça attire les regards, et même plus que cela.
Les morceaux s’enchaînent et elle est maintenant entourée de quelques jeunes hommes qui pensent probablement avoir leur chance. Bien enfoncé dans mon fauteuil, je reste en retrait pour ne pas inhiber les tentatives d’approches de l’un ou l’autre coquin qui aimerait se faire une MILF, comme on dit de nos jours.
Après une demi-heure, ceux ignorés par mon épouse ont logiquement abandonné et il n’en reste plus que deux amis, avec qui le courant semble visiblement passer, dans la mesure où je vois d’ici leurs yeux briller de concupiscence. A l’initiative d’Anna, le trio quitte la piste pour aller s’asseoir. ...
... Je ne peux évidemment pas entendre la conversation, mais je la devine:
— Je connais un hôtel à Ixelles où l’on peut louer une chambre pour quelques heures. Si cela vous dit, on peut y aller, mais à une condition.
— Laquelle ?
— Vous voyez l’homme assis là-bas ?
— Oui.
— C’est mon mari. Il vient avec nous.
Les deux acolytes, qui ne s’attendaient visiblement pas à ça, jettent un coup d’œil rapide vers moi, mais Anna les ayant chauffés à blanc, je doute qu’ils lâchent l’affaire aussi près du but. Ils se parlent un instant puis, se tournant vers ma femme, finissent par acquiescer. Le trio se lève et se dirige vers moi.
— Jean, on y va !
Je me lève et nous sortons tous les quatre de la boîte pour rejoindre mon véhicule, garé à quelques centaines de mètres. Le court trajet en voiture permet de faire les présentations : Eric, le plus grand, est étudiant en dernière année à Solvay, Axel, le plus costaud, est sorti en juin avec un diplôme d’ingénieur. Ils jouent au foot ensemble au Racing. Polis et posés, ils sont probablement issus de bonnes familles, mais l’expérience m’a appris que cela ne voulait pas forcément dire de bonnes mœurs.
En moins de dix minutes, nous arrivons à destination, un « hôtel de jour » situé dans une rue proche de l’avenue Louise et coup de chance, il y a une place de parking à proximité.
Je paye au concierge les quatre-vingts euros demandés pour deux heures dans la chambre « privilège » puis mon épouse, les deux camarades et moi ...