1. Simon, d'Ange à Démon. (6)


    Datte: 19/05/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... une jeune femme dans la rue en minijupe. Elle ne supporte plus ses attitudes de cureton voyeur et obsédé par la vision des femmes court-vêtues, mais aussi par la violence qu’il utilise envers son fils. Elle sait aussi que ce soir elle va devoir le satisfaire au lit comme à chaque fois qu’il dérouille son petit chéri pour ensuite en prendre plein le cul. Même si elle s’est rendu compte au fil du temps qu’elle n’est plus bonne qu’à satisfaire son mari quand il en a envie, et uniquement lui. Ce soir elle va encore céder pour éviter que son petit soit une nouvelle fois battu. Mais une chose est certaine : il ne perd rien pour attendre, car elle a une idée bien précise de ce que sera fait demain.
    
    Dans sa chambre, Simon arrive à se calmer et pour se changer les idées il décide de regarder le cadeau que lui a fait Laura, alors qu’il se prépare à se lever pour sortir le paquet de sa cachette, il entend frapper trois petits coups à la porte de sa chambre et voit la poignée en aluminium à la forme allongé, s’abaisser. C’est sa mère, le visage grave, qui entre dans la pièce en tenant un plateau garnit de nourriture.
    
    — Ça va mon chéri ? demande-t-elle d’une voix douce.
    
    — Ça va, j’ai mal partout mais ça va. Maman, il n’avait pas le droit de fouiller dans mes affaires, moi je ne le fais pas.
    
    — Je sais et je lui ai dit, mais n’y pense plus je vais m’occuper de toi ; mets-toi sur le ventre que je regarde ça de près. Je vais te mettre de la pommade pour qu’il n’y ait pas de traces ...
    ... demain.
    
    — Merci maman, tu es magnifique… Je t’aime maman.
    
    — Moi aussi je t’aime, attends-moi, je reviens.
    
    Elle sort de la pièce puis revient un instant plus tard avec un tube de pommade à la main. Simon, s’est allongé sur le ventre, seule position où les draps ne frottent pas sur sa peau meurtrie par les coups, sa mère peut une fois de plus contempler le résultat de ses neuf mois de grossesse qui secondes après secondes ont fabriqué son joli garçon. Elle s’installe sur le bord du lit et tartine les fesses, le dos et le haut des cuisses bleuies par les coups ; elle étale la pommade avec délicatesses en prenant un plaisir tout particulier en touchant les fesses rondes et musclées de son jeune apollon.
    
    — Simon mon chéri, je sais que ce qu’il a fait est mal, mais c’est ton père tu le connais aussi bien que moi, il ne sait pas imposer sa loi que par la violence ; alors je voudrais que tu arrêtes de te braquer contre lui.
    
    — Promis, mais je voudrais que tu m’inscrives dans un pensionnat, même si c’est au séminaire ; je veux partir d’ici.
    
    — J’aurais du chagrin, tu sais, mais si c’est ton choix ; je le ferai pour l’année prochaine.
    
    — Merci maman…
    
    — Tiens mange, j’ai apporté de quoi te redonner des forces.
    
    — Tu vas manger avec lui ?
    
    — Non, je lui fais la tête.
    
    — Si, va manger avec lui, pour ne pas t’attirer d’ennuis, s’il te plaît.
    
    Elle accepte et laisse son garçon seul. Mais encore excité par ce qu’il vient de se passer, il préfère regarder de plus ...