Maud et Georges : Un week-end à Deauville…Épisode 3/3 :
Datte: 18/05/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... ressortir, il alluma son téléphone et composa le numéro d’un de ses contacts, après quelques minutes de conversation, il éteint son portable et se précipita sur le parking où l’attendait toujours Maud, son smartphone à la main :
— Qui appelles-tu ma puce ?
— Mon amie d’hier soir. Je l’ai prévenue que je partais pour quelques jours.
— Attache-toi bien ! je ne voudrais pas te perdre en route. Lui dit-il.
Ce qui amusa la jeune femme, elle trouvait Georges très surprenant, il était d’un sérieux et conventionnel mais savait avoir de l’humour. Il fallait s'attendre à tout avec lui : « Que va-t-il me réserver comme surprise ? » Se demandait-elle. Pendant les deux heures et demi de trajet, ils étaient à présent seul au monde, il n'avait qu'à s'offrir aux plaisirs charnels. Profitant de la boite automatique et du manque de sous-vêtement, Georges la main droite posée sous la robe de sa reine de cœur lui offrit une nouvelle fois beaucoup de bonheur. Elle lisait dans ses yeux une attente similaire Elle ne regrettait pas son choix et son abandon total à son amant. Dans cette parade amoureuse, elle avait goûté aux joies de l’amour avec un homme mûr, elle avait fondu sous son charme, elle était prête à donner et à recevoir, tout son corps la démangeait, brûlait de l’intérieur. Elle était au firmament de la débauche des sens par ce bonheur qu'il savait lui offrir sans relâche.
Arrivés à Deauville le centre-ville était bondé de monde, une foule grouillant à travers les avenues ...
... revivait après le confinement, on avait l’impression que tout Paris s’était donné rendez-vous ici. Les badauds se précipitant vers les magasins spécialement ouverts pour ce week-end :
— Georges ! il faut que je renfile mon string, je ne peux pas y aller ainsi, je ne suis pas à l’aise.
Devant la moue de Maud qui avait perdu le sourire, il comprit que cette situation l'incommodait. Il se dirigea vers le magasin de lingerie où il avait pris l’habitude d’amener ses maitresses et se gara devant la boutique. Ce temple de plaisirs pour femmes, où elles aimaient passer du temps afin de choisir des dessous chics et très sexy pour affoler leur amant :
— Oui, Bien sûr ma puce ! Tu me plais, tu es magnifique. Prends tout ce que tu as besoin, ne regarde pas à la dépense. Lui dit-il, trop heureux de vouloir la combler.
En entrant dans la boutique, la patronne en le reconnaissant, vint spécialement s’occuper d’eux immédiatement : « Bonjour Monsieur Georges, vous nous amenez votre fille aujourd’hui ? » sans répondre à sa question, il dit simplement : Bonjour Madame ! Je vous la laisse entre vos mains. Je pense qu’elle sait ce qu’elle veut. » Se sentant mal à l’aise, il était allé prendre un café sur la terrasse du café d’en face patientant sagement que sa reine de cœur dévalise le magasin. Il était l'heure du déjeuner, lorsqu’elle sortit de la boutique avec trois sacs.
Les nombreux restaurants affichaient leurs menus, il avait choisi de l’emmener dans une brasserie simple où ...