La voluptueuse dégradation de Florence (3)
Datte: 18/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory
Préambule: L’histoire qui suit met exclusivement en vedette des personnes majeures lors des scènes de sexe.
Précédemment dans La voluptueuse dégradation de Florence : Madame C, prof de français respectée dans un lycée parisien, s’est fait baiser à son insu par des élèves à peine majeurs dans une glory-hole de Pigalle. Ces derniers la contraignent à se donner à eux un soir dans une classe. Florence, en dépit de ses valeurs conservatrices, malgré tout ce qu’elle a à perdre, éprouve un certain plaisir au chantage qu’elle subit. On la retrouve nue, les yeux bandés, allongée sur son bureau.
Ayant tiré la tête de Florence en dehors du bureau, sa nuque appuyant sur le plateau recouvert d’un tapis de sol, Léo baisait furieusement la bouche de sa prof de français en s’agrippant à sa généreuse poitrine.
— Prends ça, vieille putasse, ça t’apprendra à me faire tout le temps des remarques à la con, à me foutre la honte devant la classe.
Le garçon, frêle et de taille plus modeste que ses camarades, devait se hisser sur la pointe des pieds pour atteindre sa cible, mais ainsi positionné, il allait et venait dans la gorge de Flo presque aussi rapidement que s’il se branlait.
Tandis que les 4 autres jeunes niquaient alternativement ses trois trous en fonction de leur disponibilité, Léo dédaignait la chatte qu’il trouvait trop grande et ne prenait que le cul et la bouche de sa prof.
Les garçons semblaient obéir à un ordre implicite et se relayaient harmonieusement autour de ...
... Florence dont tous les orifices étaient en permanence comblés.
Les variations de taille entre les pénis des garçons et de rythme de pénétration ne laissaient pas de place à la monotonie.
Parfois frustrée, parfois suspendue à l’attente d’un membre plus gros dans son cul ou sa bouche ou sa chatte, se languissant de mouvements plus vifs ou plus lents, elle ne s’ennuya cependant pas un instant. Les moments d’insatisfaction remontaient un ressort dans son corps qui finissait toujours par se détendre d’un seul coup, libérant brutalement la tension accumulée.
Manipulée par les 5 garçons sur son bureau, yeux bandés, elle connut un grand nombre et une grande variété d’orgasmes. Ceux qui partaient du cul étaient plus profonds que ceux qui venaient de la chatte, cependant plus intenses. Parfois, il lui semblait aussi jouir par la gorge.
Ce plaisir-là semblait plus cérébral, se nourrissant surtout de la situation à défaut de stimuler une véritable zone érogène. L’humiliation, la transgression, l’interdit bafoué semblaient toucher un endroit secret, caché au fond de son âme, et précipiter une puissante jouissance, aussi sûrement qu’une langue s’agitant sur son clito.
Les garçons éjaculèrent au moins deux fois chacun, se réservant la plupart du temps pour la bouche de leur prof ainsi que leur éducation sexuelle pornographique le leur avait inculqué.
Possédant à cet égard une culture encyclopédique, ils reproduisaient les actes, mais aussi les insultes dont ils étaient ...