-
La déchéance de Juliette Ch. 07
Datte: 17/05/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... virent pas Jeanne passer entre les lits avec juste le gode en plastique le plus gros, le plus long et le plus épais entre ses jambes. Oui, elle allait profiter de cette nuit et ces chiennes allaient le sentir passer. Seule dans sa cellule, Juliette profita au maximum de cette solitude. Elle n'en avait jamais eu beaucoup depuis son arrivée en prison. Elle ne se demanda même pas pourquoi l'imposante gardienne l'avait retiré de sa cellule où elle était tourmentée. Elle s'en fichait du moment que ça lui donnait le repos dont elle avait besoin. Et plutôt que de cogiter, elle s'allongea sur une couchette et elle se reposa. Elle était sûre que jusqu'à la réouverture de la porte, personne n'abuserait de son corps épuisé. Depuis qu'elle avait pénétré la cellule où se trouvaient les deux sœurs son existence était tout simplement misérable. Les hommes du complot contre elle avaient donné presque carte blanche aux deux prostituées pour briser l'ancienne policière. Et peut-être qu'elles y étaient arrivées, car elle n'était plus qu'une esclave obéissante maintenant. Il y a seulement quelques mois, Juliette était une femme ambitieuse (peut-être trop), concentrée sur sa réussite et sur le chemin du sommet. Et maintenant ? Maintenant, dans les bons jours, elle n'est guère plus qu'une chienne blanche soumise à ses deux maîtresses noires sadiques. Juliette fut réveillée dans son demi-sommeil par la porte de la cellule qui s'ouvrit. Instantanément elle fut éveillée et alerte, ...
... fixant l'entrée sombre et se préparant à quoi que ce soit ou à qui pouvait venir. Elle avait pu se reposer, mais elle savait que ça ne durerait pas. Quand elle leva ses grands yeux tristes, ce fut pour voit la grande et imposante silhouette de la gardienne LOYALE. Elle entra dans la cellule, habillée de la tête aux pieds dans sa sinistre tenue noire avec toujours un énorme gode-ceinture attaché autour de la taille. Juliette frissonna à cette vue. Mais Jeanne ferma la porte et se dirigea vers Juliette en détachant le gode et en le laissant tomber par terre. Juliette la regarda interrogative. - Ne t'inquiète pas, prisonnière ! Je ne l'ai apporté que pour te montrer à quoi tes deux « bienfaitrices « noires ont dû faire face ce soir. Quelle que soit la réaction à laquelle elle s'attendait, ce n'était pas celle de Juliette enroulant ses bras autour de ses jambes et se recroquevillant pour s'éloigner de l'objet. Jeanne se pencha et le reprit en main pour montrer le scintillement à l'ancienne policière. Sa main a du mal a faire le tour de la circonférence. Avec des yeux effrayés comme ceux d'un enfant, contrastant avec ses traits durs, Juliette la regarda dans les yeux et chuchota lentement : - Pourquoi ? - Parce que je ne les aime pas ! Parce que je n'aimais pas ce qu'elle faisait dans ma prison ! Et parce que je n'aimais pas ce qu'elle te faisait... A ce moment, leurs yeux se rencontrèrenet et s'attardèrent plus longtemps qu'ils ne l'auraient dû. Jeanne laissa tomber le ...