La déchéance de Juliette Ch. 07
Datte: 17/05/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... plafond de la cellule. En la violant, l'officier LOYALE a donné des coups de pieds dans le tabouret pour pendre sa victime. Cette gardienne a agi à la fois en tant que juge, jury et bourreau.
L'histoire était bien ficelée et il ne fallut que quelques minutes pour que Jeanne soit reconnue coupable et condamnée à la réclusion à perpétuité. Il ne fut pas surprenant de découvrir qu'elle fut envoyée au milieu des femmes qu'elle avait surveillées dans l'établissement où elle travaillait comme gardienne. Costaude et musclée ou pas, alors qu'elle traverse le désert en direction de son destin, elle sut au fond d'elle-même que ce serait vraiment mauvais pour elle.
A son retour à la prison, cette fois en tant que criminelle, Jeanne fut enchaînée et traînée à travers les couloirs complètement nue. Puis elle arrive dans le gymnase. Là, au centre de la pièce, se trouvait un cheval d'arçon. Sept des gardes masculins qu'elle avait terrorisés auparavant prirent grand plaisir à la monter sur ce cheval et lui attacher les bras et les chevilles aux pieds. De cette façon, sa bouche, son cul et sa chatte furent bien exposés. Puis ils la laissèrent seule après avoir pris le temps de lui décrire en détail ce que chacun d'eux lui fera pendant son séjour en tant que prisonnière.
Alors que Jeanne digérait sa situation et essayait en vain de tirer sur ses liens, le silence dans le gymnase fut rompu par l'arrivée du directeur. Il marcha lentement vers elle et s'accroupit pour la regarder dans ...
... les yeux pendant qu'il lui parlait.
- Vous savez que c'est dommage ? Vraiment dommage ! Vous étiez une bonne garde et si vous aviez pu garder votre nez hors de certaines affaires, vous le seriez encore. Mais il faut dire que je me suis toujours demandé ce que ça serait de vous baiser, vous si forte et si puissante, de vous voir comme un simple jouet à ma disposition. Je me suis toujours demandé si vous aviez déjà pris une bite dans le cul !
Sur ces mots, il décida de ne plus se poser la question alors qu'il enfonçait sa longue et fine bite profondément dans le trou du cul de Jeanne. Il saisit les cheveux noirs de la femme dans ses mains et il la besogna violemment.
- Hmmmm, que c'est bon ! j'ai l'impression de briser un étalon sauvage !
Jeanne ne dit rien et serra les dents. Elle avait décidé de ne pas donner à ce vieux salaud le plaisir de l'atteindre. Elle resta impassible. Après tout elle était forte, élevée dans une famille dur et habituée à subir des coups durs. Toutefois, dans un coin de son cerveau, elle savait que c'était un combat perdu d'avance alors que le directeur continuait à l'enculer brutalement.
Couchée sur le cheval, elle leva les yeux autant que lui permettait sa position. Elle vit qu'elle avait été positionnée de façon à être face à la porte du gymnase. Tandis que le directeur continuait à la sodomiser, la porte s'ouvrit et deux gardes entrèrent. Ce qui les suivit fit frissonner Jeanne. Dans une ligne presque parfaite, toute une série de ...