Karine parle de son fils chez la psychologue (1) - Histoires de Sexe

Karine parle de son fils chez la psychologue (1)

... soucis à se faire dans votre cas, hormis le fait que vous ne devez pas espionner votre fils de la sorte.

— Vous croyez que je dois le voir moins souvent ?

— Non je n’ai pas dit ça, mais vous ne devez pas le regarder pendant qu’il se masturbe.

— Oui c’est entendu.

— C’est important, s’il sait que vous l’observez, il pourrait y prendre goût et vous aussi par la même occasion.

— Vous pensez que c’est une mauvaise chose ?

— Disons que ce genre de choses peuvent donner lieu à des relations incestueuses, potentiellement nocives.

— OK je ne le ferai plus.

— C’est bien. Mais pourquoi ne vous trouvez-vous pas un autre mari ?

— J’essaye, mais c’est compliqué de trouver une personne qui me corresponde. Et j’aime mon fils.

— Etes-vous amoureuse de lui ?

— En quelque sorte oui.

— Vous arrive-t-il de faire des rêves érotiques le concernant ?

— C’est exact, vous avez vu juste, d’ailleurs les médicaments me font sacrément planer en plus.

— Quels genres de rêves faites-vous ?

— Plutôt des rêves agréables, où nous faisons l’amour dans mon lit.

— Oui c’est ce qu’on appelle des rêves compensatoires, afin de satisfaire ses désirs pendant le sommeil. Est-ce que je peux vous poser une question indiscrète ?

— Allez-y.

— Pratiquez-vous la masturbation ?

— Non pas du tout, ...

... je ne me caresse pas. Pourquoi ?

— Peut-être que vous pourriez vous y mettre, histoire de vous détendre, mais c’est juste une suggestion.

— Quoi là devant vous ?

— Non chez vous bien sûr.

— Vous croyez ? Mais pourquoi ?

— Pour se soulager le corps, mais aussi l’esprit. Si votre fils s’est masturbé après vous avoir embrassée, c’est pour éviter justement d’aller trop loin avec vous. Donc je pense qu’il serait judicieux que vous fassiez de même, afin de préserver la relation mère et fils.

— D’accord j’essaierai, mais est-ce que je dois utiliser un objet prévu à cet effet ?

— Non vous pouvez seulement utiliser vos doigts.

— C’est entendu. Mais ce n’est pas grave si je le fais en pensant à mon fils ?

— C’est vous qui voyez, du moment que vous arrivez à prendre suffisamment de plaisir, je n’y vois pas d’inconvénient.

— Merci Karine, ce sera tout. La séance se termine, je vous raccompagne à la porte.

— Merci docteur, vous êtes très douce et compréhensive.

— C’est mon métier d’aider les autres, vous savez. D’ailleurs si vous avez des questions vous pouvez m’appeler sur ma ligne personnelle, et je peux même me déplacer jusqu’à votre domicile si vous le désirez.

— Je vous remercie beaucoup, je vais y réfléchir. A bientôt docteur.

— Oui, portez-vous bien mademoiselle Karine...