1. Monsieur Eric (2)


    Datte: 16/05/2023, Catégories: Gay Auteur: Hartigan23, Source: Xstory

    ... sans effort pour m’allonger sur le lit, les piercings de ses tétons toujours au contact de mon torse. Cette fois, c’est moi qui lui vole un baiser, auquel il répond avec enthousiasme. Je me remets face à lui, prenant mon temps pour caresser son large torse.
    
    — Je ne t’ai pas appris à prendre de telles initiatives, vilain garçon.
    
    — J’aime beaucoup vos lèvres, M. Eric. Elles sont si attirantes !
    
    — Si tu veux y regoûter, garde tes cuisses écartées.
    
    — Tout de suite monsieur...
    
    Je commence à aimer follement ce jeu de rôle auquel je joue, même si j’ai légèrement débandé après l’anulingus. Mais alors qu’il me roule une nouvelle pelle, je sens son index caresser mon trou des fesses. Bien détendu après le traitement en douceur dispensé à coups de langue, il ne tarde pas à s’ouvrir pour laisser passer le doigt. J’hallucine de le sentir bouger en moi, j’ai le souffle coupé pendant un très court instant. Quand il rajoute un doigt puis qu’il ressort de mon orifice, ma queue a retrouvé une érection complète.
    
    Il renouvelle l’expérience plusieurs fois. A chaque fois que je suis le plus excité, c’est juste avant que les doigts ressortent, quand ils passent au niveau de l’entrée de ma rondelle et que mon intérieur retrouve son état initial. En plus de bander comme un fou, je sens peu à peu le poids du travail de ces derniers jours me quitter. En bref, je suis probablement extrêmement influençable à ce moment précis. Etrangement, j’en ai peut-être un peu conscience et j’ai ...
    ... aussi envie qu’il profite de mon état...
    
    Pendant que je lève les yeux au plafond, je l’entends fouiller avec sa main libre son sac resté de l’autre côté du lit. Je repose les yeux sur lui et je le vois tenir à sa main un long et fin godemiché noir qu’il fixe au sol à l’aide d’une ventouse située à la base du gode. Les allers-retours de son doigt entre mes fesses se font plus mécaniques, plus vigoureux. Je reporte mon attention sur le gode, manifestement conçu pour ressembler à la véritable bite d’un homme noir, avec un gland et des veines artificielles.
    
    Cette fois, il n’eut pas besoin de me dire un seul mot. Un regard de sa part suffit pour que je me lève et m’assoie sur le chibre siliconé, je sens à peine son doigt ressortir. Je prends ce silence comme une marque de confiance, mais une part de moi aurait aimé l’entendre dire, de sa voix grave et sensuelle, “Ça va ? Tu es bien installé ? Tu aimes remuer ton beau cul blanc sur mon petit jouet ?” et bien d’autres remarques graveleuses. Je lui aurai répondu que ce gode n’était en rien comparable à son propre engin... Parce que je me demande combien de temps je vais réussir à tenir avant de toucher la belle bite qui pend entre ses jambes comme un pendule, à demi tendue.
    
    En allant lentement et en gardant les jambes fermes, la douleur initiale est minime. En revanche, sentir le gode écarter mon anus jusqu’à son fond est une sensation incomparable. Je fais un aller-retour. Puis un autre. Je n’agis plus seulement comme le bon ...