Les feux de l'automne - septembre 2020. (1)
Datte: 15/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
... plus ou moins appuyés, Armelle se frottait contre moi et d’une main (discrète ???) elle masturbait mon sexe... La soirée promettait d’être chaude... Puis nous nous laissions bronzer pas le soleil jusqu’au moment où il était temps d’aller enfiler une tenue plus adéquate pour aller dîner, installés à notre table...
Ces longues heures de farniente étaient l’occasion de parler de choses et d’autres, de leurs occupations coquines au Cap d’Agde où elles vivaient à l’année et participaient à des salons érotiques un peu partout en France... des films érotiques auxquels elles avaient participé... de leurs amants occasionnels... La nuit était largement tombée quand nous avons quitté le restaurant où nous étions les derniers clients.
— Ce soir, c’est à mon tour de te faire plaisir... Il est inutile de tergiverser, je te suis... Marina trouvera bien son chemin toute seule !!!
— Mais je suis une grande fille et je n’ai pas peur du loup !!!
— Ouais... on sait ce que tu lui fais au loup !!!
— Mais tu en fais autant !!!
C’était bien parti !!!
Dès que nous avons été dans mon bungalow, Armelle s’est tournée vers moi et m’a offert ses lèvres... Un baiser ardent qui s’est prolongé... Elle frottait son pubis contre le mien dans une sorte de danse lascive qui a mis le feu aux poudres...
— Je vois et je sens que tu es en forme... Marina ne t’a pas tout pris !
— Une journée pour récupérer, cela suffit, mais il ne faudrait pas que j’exagère...
— Non, mais il parait que ...
... tu es un bon coup !!!
— Il parait...
Nous n’avions pas beaucoup de vêtements à ôter aussi, dès que nous avons été nus, nous avons basculé sur le lit dans une position de 69, Armelle au-dessus de moi et avant d’emboucher mon sexe, elle m’a dit :
— Juste pour te réveiller un peu...
Je n’avais pas besoin d’être réveillé, mais la bouche d’Armelle était chaude et cette coquine savait se servir de sa langue pour agacer le méat et entourer mon gland de caresses savantes... J’avais sous les yeux son sexe glabre avec de lèvres intimes bien découpées avec une sorte de bourrelet qui les entourait... son clitoris saillait entre comme un appel à une caresse que j’appliquai aussitôt en suçant ce bonbon de chair jusqu’à ce qu’Armelle dise que cela suffisait et qu’il était temps de passer à autre chose...
Elle se mit en levrette près de moi... J’avais compris, c’était le moment de baiser cette femme qui s’offrait si généreusement...
Je l’ai déjà dit, elle avait des formes moins marquées que sa copine Marina, mais voir ses petites fesses devant moi dans la lueur atténuée de la lampe de chevet, sa fente largement ouverte et ses orifices qui palpitaient... C’était d’un érotisme torride et je me suis introduit lentement dans sa chatte, car je ne voulais pas ‘’ défoncer ‘’ Armelle par une pénétration trop vive...
Dès que mon pubis a été au contact de ses fesses, Armelle m’a dit de ne pas la ménager... que pour une fois elle n’aurait pas à simuler ou à retenir son plaisir... Et ...