Un cocu est né (1)
Datte: 14/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory
Comment en étais-je arrivé là ? Les énormes couilles non épilées de Jeremy touchaient presque mon visage tandis que sa queue avait entièrement disparu dans le cul de ma femme, de sorte que les longs poils de ses bourses me chatouillaient le nez. Il resta ainsi une éternité, planté sans bouger dans Judith, le temps pour lui et moi de savourer sa victoire. Car oui, il me fallait bien le reconnaître, sa victoire m’était savoureuse.
Je n’avais rencontré ce type qu’une fois auparavant, lors d’un dîner chez une amie où nous étions tous deux invités avec nos femmes. Je l’avais immédiatement trouvé antipathique : de même âge que moi, il était plus grand, mieux bâti et probablement plus riche. Sa conversation sans fantaisie révélait un esprit cartésien à la souplesse bien calibrée, parfaitement taillé pour les sentiers battus, efficace, à l’image de son SUV de luxe. Il avait de grandes mains et son Chino beige contenait à grand-peine un paquet qui l’empêchait probablement de croiser les cuisses.
— Je suis d’accord pour faire entrer quelqu’un d’autre dans nos jeux.
Curieusement, lorsque Judith prononça cette phrase tarabiscotée, je pensais immédiatement à lui. Sans doute parce qu’il était depuis peu son kiné et que j’éprouvais autant d’irritation que d’excitation à imaginer ses grosses paluches sur ma femme et certainement aussi parce que son image s’imposait systématiquement à moi lors de ces fantasmes où je racontais à Judith pendant l’amour combien j’aimerais qu’un autre ...
... type la prenne en même temps que moi.
Souvent, lorsque je restais silencieux, c’était elle qui me disait : « parle-moi », réclamant ainsi ces histoires où, les yeux clos, elle imaginait un homme dans sa chatte ou son cul ou sa bouche tout en se fourrant un des godes toujours à portée de main.
— Tu veux dire que tu voudrais qu’on invite un autre homme à participer à nos parties de sexe ?
— Ça fait drôle de le dire comme ça, dit-elle avec une mine contrariée, comme si j’avais dit quelque chose d’inconvenant. Tu en parles beaucoup, poursuivit-elle, ça a fini par me troubler... Tu n’es pas jaloux d’imaginer d’autres hommes ?
— Eh ben, disons que c’est un fantasme, je n’ai jamais vraiment pensé à le concrétiser...
— Oui, mais maintenant Théo, tu as mis ça dans ma tête, brrrrr, fit-elle, s’ébrouant comme pour se débarrasser des idées que j’avais plantées dans son esprit et qui avaient germé au-delà de ce que j’étais apparemment prêt à accepter.
Sauf que Judith, en emboîtant le pas de ma fantaisie et en envisageant de faire un pas de plus embrasa mon imaginaire, m’incitant à aller plus loin. Le soir même, je lui demandai si elle pensait à un homme en particulier.
— Oh, non écoute, ça me gêne de parler de ça. Peut-être que nous nous sommes mal compris... Elle serra mon bras. Ses narines légèrement dilatées, telles qu’elles apparaissaient lorsqu’elle était excitée, m’indiquaient qu’elle n’avait pas réellement renoncé à son idée et qu’elle était troublée que je lui ...