Djalil, un amour de jeunesse (3)
Datte: 13/05/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: AnneLaure, Source: Xstory
... abandonnée à lui j’ai tellement chaud que je n’arrive plus à respirer correctement, je lèche son gland comme une glace et je gémis de manière erratique.
— C’est bien Anne-Laure, je kiffe t’entendre te lâcher comme ça.
Alors que ses doigts continuent d’aller et venir je sens qu’il me fait un suçon dans le creux de la cuisse, à chaque expiration je gémis à haute voix ; si mes parents ne dorment pas c’est certain qu’ils vont m’entendre, leur chambre est juste en dessous celle-ci et je ne suis pas censée dormir ici. Que vont-ils penser ?
Je suis saoule et dans mon état ces considérations sont secondaires, j’en fais très vite fi en espérant qu’ils dorment déjà profondément, pour profiter pleinement de l’instant présent. Sur le point de jouir je m’effondre sur le côté.
Djalil se lève en marmonnant quelque chose, je me calme progressivement pendant qu’il déboutonne sa chemise les yeux baissés sur son sexe érigé entre sa braguette.
— Mais quelle salope... J’ai ton rouge à lèvres partout sur la bite... Viens ici.
Il s’assoit sur le fauteuil près de l’armoire, je reprends mes esprits, me lève et titube jusqu’entre ses jambes où je tombe à genoux ; il retire sa chemise pendant que je déboutonne son pantalon, je le baisse ainsi que son caleçon. Il pose ses mains autour de mon cou et inspecte mon collier de perles blanches qui descendait pour disparaître entre mes seins. Lors de nos ébats il est ressorti par-dessus ma robe, il le passe par-dessus ma tête et se ...
... l’approprie.
— C’est un joli collier ça... Anne-Laure t’es vraiment une pure bourgeoise... Suce ma bite.
Il passe mon collier sur sa queue et l’enroule plusieurs fois tout autour, enserrant aussi ses boules. Son gros gland rouge vif m’attire comme un lampadaire attirerait un papillon de nuit, à sa vue ma bouche s’ouvre instinctivement, les mains posées sur ses genoux je prends sa verge enflammée entre mes lèvres. Il pince mes seins à travers ma robe.
— Quelle robe de pute, on voit tout à travers, tu sais que tout le monde a maté tes gros seins ce soir ? En fait t’es une vraie chienne hein ?
Je me suis habillée pour lui faire plaisir, comme il m’avait demandé de le faire ; il ne m’avait jamais parlé comme ça auparavant, ses mots dégradants résonnent dans ma tête et me mettent mal à l’aise, mais je suis trop saoule et trop excitée pour réfléchir. Son corps m’attire tellement qu’à l’instant présent je veux bien être tout ce qu’il voudra, tout ce que je veux c’est qu’il me prenne. En le suçant je le regarde dans les yeux et hoche ma tête, si ça peut lui faire plaisir ce soir je serais sa chienne.
Il détache les nœuds de ma robe aux épaules et dans le dos, elle tombe par terre.
— Tu l’aimes ma grosse bite marocaine ?
Docilement je hoche encore ma tête.
— Je vais bien te la donner.
Il se débarrasse de son pantalon et de son caleçon et m’attire sur le fauteuil à genoux face à lui.
— Petite bourge avec tes collants et tes jarretières de salope là... tu me rends ...