Contrainte 09 - Le proviseur 2/2
Datte: 13/05/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
Cette histoire est complètement imaginaire, de l'ordre du fantasme. Les personnages sont fictifs et majeurs. Les violences faites aux femmes sont condamnées par l'auteur. Si vous n'aimez pas les situations de contrainte, d'humiliation, voire de viol, ne lisez pas.
*
Près de la fenêtre, elle tournait lentement sur elle-même, mains sur la tête, le cul en feu des 70 claques appliquées par Alain-Claude TREPREUX. Philippe l'avait cédée aux ordres du proviseur qui comptait bien en profiter.
Il s'approcha de la pauvre fille et ôta sa culotte de chaînes métalliques. Il préférait la savoir et la voir entièrement nue sous la petite jupe écossaise rouge. C'était une jupe achetée dans un salon érotique, très courante en ces lieux, plissée, ultra courte, bien large, une invitation à passer la main ou le regard dessous. Il en profita pour exciter les tétons qui, sans même cela, formaient déjà deux boulettes parfaitement apparentes sur le pull blanc. De retour à son bureau, il enclencha sa webcam qu'il dirigea discrètement vers Françoise. Il mit en marche la fonction ENREGISTREMENT.
Il fallait maintenant qu'il aille à la salle commune faire le point avec le personnel sinon il ne tarderait pas à avoir de la visite à son bureau. Il ordonna à la fille de continuer à tourner lentement sur elle-même sans jamais cesser jusqu'à son retour. « Avec la webcam, pensa-t-il, je verrai si elle désobéit. » Il la laissa seule à ses craintes.
A la réception des visiteurs, il trouva les ...
... deux éternelles permanentes en cours de commérage avec un client, Thérèse et Christiane. Il leur fit la bise comme de coutume, s'intéressa quelque peu à la conversation, s'arrêta aux problèmes éventuels. RAS. Tout était en ordre. La première dame s'inquiéta de la présence de Françoise :
* Elle est arrivée, répondit le proviseur, mais pour le moment elle est occupée. Elle vous rejoindra tout à l'heure.
Il s'occupa à ranger une table qui proposait des mangas pour grands enfants. Ce n'était guère facile de se concentrer tant son cerveau était empli d'images de la belle Françoise à sa merci. Il avait besoin de faire le point. De façon complètement imprévue, il venait d'obtenir un énormissime pouvoir sur la fille : « ...vous en faites ce que vous voulez, quand vous voulez et où vous voulez... » avait dit Philippe. A l'évidence, il ne blaguait pas! Elle était devenue son esclave.
Elle, seule dans le bureau, avait bien fait deux ou trois tours ; s'y trouva profondément ridicule ; les fesses brûlantes qui réclamaient qu'on les calme. Elle cessa de tourner en rond, se frotta la partie douloureuse, descendit un peu sa jupe, tira sur le pull. Elle maudit son mari qui la mettait dans de telles situations ; elle maudit aussi Philippe, le plus vicieux de tous. Mais elle ne savait pas encore qu'elle venait de tomber sur pire que lui! Elle était très inquiète par la brutalité d'Alain-Claude, il lui avait vraiment fait mal. Elle fixait sans cesse la porte du bureau non fermée à clé, ...