1. La sextape (1)


    Datte: 12/05/2023, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Gerald93, Source: Xstory

    ... quinze ans de vie commune, mon humour sarcastique avait déteint sur elle, mais en période fiscale, elle en usait et abusait mieux que moi. Chaque année, au printemps, je passais quelques semaines à encaisser ses humeurs de comptable débordées. Il parait que c’est pire pour ces collègues du cabinet. Mais, elle n’a fait aucune allusion à la vidéo. Je suis donc rassuré qu’elle soit étrangère à cette blague.
    
    De retour au bureau, après ce repas nippon, ni mauvais, je retrouve mes écouteurs. Et ils me permettent de découvrir l’ambiance sonore des 17 minutes de ce moment privé. Maintenant que l’inquiétude est passée, c’est finalement sympa à entendre pour ma digestion. Elle ne donne aucun nom, et elle a choisi un type pour la sauter pour se venger de son mec qui l’aurait trompé avec plusieurs de ses copines. Rien de ce que je n’entends après ne m’aide pour mener l’enquête sur l’émetteur de ce texto. Oh bien sûr, il me suffit de rappeler, mais ce serait avouer mon échec à le démasquer. Surtout qu’il est probablement là, sous mes yeux. A m’observer peut-être. J’aurai un regard suspicieux sur chacun de mes collègues toute l’après-midi. Mais au moment de quitter le bureau, je ne suis pas plus avancé.
    
    Nathalie ne sera pas à la maison avant 20h. J’ai donc tout le temps pour regarder cette vidéo avec le son et tenter d’y reconnaitre quelqu’un. Un adaptateur USB, un câble HDMI et voilà la belle et son amant sur le grand écran de ma télé. Je m’assieds devant, à deux mètres à peine, ...
    ... histoire de ne pas en rater une miette. Miette ? Merde ! J’ai oublié le pain ! Il faut que je ressorte. Le téléphone à la main, j’hésite à lancer la vidéo, la regarder juste une fois, vite fait… Mais je me connais, ça va déraper. Sans éteindre la télé, je débranche le câble, et je redescends mon portable de la main, comme si quelqu’un pouvait, à partir de cette télécommande, lancer le film sans m’attendre. Dans ma précipitation j’ai failli oublier mon masque.
    
    Ce midi, je n’ai aperçu que quelques scènes. Mais maintenant, que j’ai la certitude que cette fille est étrangère à ma vie, elle m’excite beaucoup. Dans la rue, toutes les femmes me semblent des proies sexuelles. J’envisage en quelques secondes chacune d’elles, à tel point que je m’entends demander à la boulangère : « Une braguette pas trop cuite s’il vous plait ». Elle ne relève pas le lapsus. Tout est moins audible derrière ce bout de tissus qui nous barre le visage depuis des mois. Elle ne voit pas non plus mon sourire lorsque je m’en rends compte.
    
    De retour à la maison, je me reconnecte, et je tire aussi les double-rideaux évitant ainsi le reflet du soleil couchant. Voilà je suis prêt cette fois : Show must go on.
    
    Elle est en culotte et soutien-gorge noir, tout en dentelle, tout en transparence. Des bas autofixants viennent souligner son sex-appeal. Elle s’agenouille derrière le lit et son visage apparait. La trentaine passée ? Son ton est calme, mais elle a dans le regard toute la détermination des brunes ...