Série insolite. Épisode 15 « Sarah » : Quelle joie de se faire baisée par son nouveau boss. Partie 6/13
Datte: 11/05/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
Je m’appelle Sarah, lors de la seconde partie de mon histoire, dans la série insolite N°14, je vous ai expliqué comment j’avais refusé de faire la pute pour mon patron. Je vais poursuivre en vous expliquant ma rencontre avec mon nouveau PDG en 2014, lorsqu’André me présenta en disant : « William ! Je tenais à te présenter Sarah, de loin ma petite préférée. » Lorsque j’étais sortie du bureau, j’avais des étoiles dans mes yeux, j’étais impatiente que cet homme prenne son nouveau poste, pendant toute la semaine suivante, j’avais attendu sa venue, ce type pourtant bien plus âgé que moi m’avais totalement subjuguée.
Je n’avais jamais pu l’imaginer, depuis que je l’avais vu la première fois, deux ans auparavant, je savais que cet homme me plaisait et lorsqu’il était venu à mon secours quelques semaines plus tôt avec l’allemand, je dois avouer que j’avais flashé sur lui. Je me souvenais de ce jour où un contrat de vente était en négociation avec le plus important client d’Allemagne, un géant bavarois d’un mètre quatre-vingt-dix avec un corps d’athlète. La petite cinquantaine, avec ses cheveux blond coupés en brosse et ses bleus clairs, Helmut était très attirant. Je l’avais déjà rencontré plusieurs fois, il venait habituellement avec sa fiancée, une jeune russe de trente-cinq ans d’un mètre quatre-vingt, avec un corps aux formes très avantageuses.
Même si je voyais un certain désir pour moi dans son regard, cet aryen de pure souche, ne m’avait jamais manqué de respect. ...
... Cependant, ce jour-là, la fiancée d’Helmut étant absente, il était accompagné de son bras droit, de son conseiller juridique et de William Fischer le Directeur de la région Grand-Est. Pendant toute la réunion, assise entre André et Helmut, ce dernier avait posé sa main sur mon genou. Discrètement, je lui avais retiré mais il insistait et comme un fait exprès, il montait toujours plus haut. Il était parvenu, pendant que je parlais à André, à me prendre par surprise en glissant sa main sous ma robe pour la poser sur ma petite culotte en disant avec son accent guttural : « J’étais certain que tu n’en portais pas. »
Par réflexe, j’avais serré mes cuisses emprisonnant ainsi sa main posée sur mon pubis. Il ne fit rien pour l’enlever, j’étais rouge, tétanisée par la honte, j’avais envie de le gifler. Non pas, parce que je ne voulais pas mais parce qu’il me traitait comme si j’étais qu’une simple prostituée. Cependant je ne pouvais pas compromettre la vente et il le savait le salop, il en profita :
— Ça te plait ! Ne me dis pas le contraire. Me souffla-t-il dans mon oreille.
Ni une ni deux, d’une main ferme, je saisi son sexe qui m’avait semblé énorme et pinçai fortement son membre. Immédiatement, tellement surpris de ma réaction, il retira de lui-même sa main d’entre mes cuisses. À mon tour de lui répondre dans l’oreille : « Que dirais votre fiancée si elle savait ça. » Puis de colère, je m’étais levée soudainement pour me diriger aux toilettes, mon comportement ne passa pas ...