1. Le projet artistique (35)


    Datte: 11/05/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... comme elles et que nous n’avions rien préparé. Mais comme c’était "Eye of the tiger", nous prîmes des poses et nous fîmes des mouvements de boxes pour agrémenter notre show. Les nanas étaient tout excitées de nous voir nous donner en spectacle. Elles sifflaient, elles criaient, elles nous encourageaient. Nous nous prîmes au jeu et nous dansâmes comme nous pûmes. Puis l’une d’entre elles cria :
    
    — Un strip-tease, un strip-tease !
    
    Ses copines reprirent ce refrain en chœur :
    
    — Un strip-tease, un strip-tease ! A poil, à poil !
    
    J’étais un peu chaud suite au baiser avec Marie et à les mater discrètement dans leur lingerie de fou. En plus, les quelques verres bus nous avaient mis dans un état légèrement euphorique. Du coup, je bandais à moitié, ça me gênait un peu de me montrer comme ça. Et puis je vis des bosses dans les caleçons et boxers de mes amis, je me rassurai de ne pas être seul à avoir une demi gaule. Esteban et Felipe passèrent les pouces sous l’élastique de leurs caleçons, jouant un peu avec. Cela surexcita encore plus nos copines. Je fis comme eux en faisant semblant de le descendre avant de le remonter. Elles avaient crié des "Oui, oui, oui." Mais m’avaient hué ensuite. Olivier et Germain montrèrent le début de leurs fesses tandis que Paul passait sa main sur sa bosse, elles applaudirent :
    
    — Encore, encore. On veut tout voir.
    
    La chanson se terminait, Germain nous demanda :
    
    — On leur fait plaisir ?
    
    Nous nous mîmes de dos, nous fîmes descendre ...
    ... d’un geste vif nos sous-vêtements à nos pieds, nous les lançâmes en arrière. J’entendis nos copines se battre pour avoir chacune le sien. Puis nous nous remîmes face à elles sur la dernière note de la chanson. Elles se pâmèrent un peu en nous admirant, apparemment nos corps musclés par les séances de boxe et nos sexes à moitié bandés faisaient leur petit effet. Je n’avais pas trop fait attention, mais c’était vrai que nos corps avaient pris du muscle. Même Olivier avait perdu sa petite bedaine.
    
    — On a vraiment de beaux mecs, lança Sylvie.
    
    — Il va falloir qu’on fasse attention, on va se les faire piquer, ajouta hilare Marie.
    
    — Oh, mais j’ai l’habitude d’être sur mes gardes, rit Elisa. Mais là, je vais devoir redoubler de surveillance.
    
    — Des vrais chippendales, ajouta Amandine.
    
    Elles ne se moquaient pas de nous, je voyais bien qu’elles avaient envie de nous croquer tout cru. Liz semblait avoir pris conscience du changement chez Olivier. Elle se mordillait la lèvre de désir. Nous descendîmes pour récupérer nos sous-vêtements. Je cherchai le mien du regard, c’était Liz qui l’avait. Je ne savais pas si elles l’avaient fait exprès, mais aucune n’avait le caleçon de son copain. Comme Esteban se penchait pour reprendre son caleçon à Marie, celle-ci lui répondit en l’agrippant :
    
    — Ah non, il est à moi.
    
    — C’est vrai, vous nous les avez lancés. Ils sont à nous maintenant, argua Amandine.
    
    — Vous avez perdu la manche. Alors on les garde.
    
    — Hé Sylv, on devait juste ...
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