1. Les histoires extras et ordinaires d'Ana, jouisseuse de la vie. (1)


    Datte: 08/05/2023, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Ana_Lisa, Source: Xstory

    J’étais étudiante en province, j’avais 20 ans. J’avais loué une chambre chez des particuliers pour quelques mois. C’était un couple de retraités, entre 65 et 70 ans, je pense. La maison était grande, plutôt vieillotte. La chambre, à l’étage, était probablement celle de leur fille. Tous leurs enfants étaient partis depuis longtemps. Il y avait un lavabo dans la chambre, mais la salle de bains était à l’extérieur sur le même palier. Mais eux avaient leur propre salle de bains au rez-de-chaussée près de leur chambre.
    
    Ils étaient assez froids, mais corrects. Nous avions peu de relations et la plupart du temps, je prenais mes repas à l’extérieur, au RU, même si j’avais le droit d’utiliser leur cuisine, en théorie. Je n’avais pas le droit d’inviter des amis, ce qui me gênait franchement, mais je n’avais loué ce logement que pour une année, bon marché, alors je prenais mon mal en patience.
    
    J’avais assez vite remarqué que je ne laissais pas indifférent le mari. Même s’il était plutôt réservé et très « vieux Monsieur convenable », j’avais parfois senti quelques regards appuyés, surtout quand je montais l’escalier. J’avais l’habitude des regards des hommes et qu’un homme de son âge, petit-bourgeois de province bien « propre sur lui », me regarde aussi, m’amusait. Je l’imaginais en train de fantasmer, et vu sa femme qui était une mégère qui le menait à la baguette, je le comprenais un peu ! Ca devait faire un moment que c’était le calme très très plat avec elle ! Et d’ailleurs, ...
    ... elle ne donnait vraiment plus envie...
    
    Et puis, j’ai commencé à avoir l’impression d’être observée aussi dans ma chambre. C’était cette sensation étrange, où l’on se retourne brusquement pour voir si quelqu’un nous regarde, mais il n’y a rien. J’étais quand même certaine de sentir parfois un regard et j’ai fini par être persuadée qu’il regardait parfois par la serrure. Il avait un bureau à l’étage près de ma chambre et il y venait parfois, surtout en journée, parfois le soir, mais pas très tard. J’ai fait attention à remettre la clé dans la serrure de mon côté quand je rentrais. Mais finalement, l’idée qu’il ait pu me voir fait naître en moi une certaine excitation. En regardant par la serrure, il pouvait voir au fond de la pièce, face à la porte, le lavabo, et au premier plan le bureau contre le mur perpendiculaire à la porte, mais pas le lit. Il ne m’avait peut-être pas vue en sous-vêtements, ou en pyjama, mais probablement pas plus dévêtue vu les heures auxquelles j’avais eu des doutes.
    
    Mais en y pensant, pour la première fois de ma vie, ça m’avait excitée d’imaginer un homme en train de m’épier !
    
    J’ai arrêté de mettre la clé dans la serrure, espérant sans me l’avouer vraiment qu’il revienne m’espionner. Mais il avait dû être découragé, je n’ai plus rien remarqué pendant un moment. Alors un dimanche, alors que je savais qu’il était dans le bureau, je suis allée prendre une douche dans la petite salle de bain en face de ma chambre. En revenant, j’ai traversé le ...
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