Amandine amoureuse (5)
Datte: 08/05/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... pour écarter mes fesses et ouvrir au maximum mon anus, le doigt réussi à entrer un peu, mais ce n’est pas très agréable, Philippine le comprend et le retire. Elle revient sur mon clitoris pour me faire jouir une fois de plus. Quand je reviens à moi, Philippine et Charlotte me caressent tout le corps, deux doigts me pince le sein gauche, pas trop fort, comme j’aime, c’est Charlotte qui me sourit.
–Je t’aime mon amour.
–Moi aussi je t’aime.
Philippine nous regarde, elle semble assez émue. Elle sort de la baignoire et revient avec des serviettes.
–Si vous voulez vous aimer mes chéries, c’est à côté.
Nous sortons de la baignoire, j’ouvre l’évacuation de l’eau et prend une serviette pour m’essuyer. Une fois sèches, nous allons dans le salon, nous nous asseyons sur des poufs.
–Ok les filles, je vois que vous êtes amoureuses à en crever, je ne veux pas m’immiscer dans votre couple, je veux simplement pouvoir passer un peu de temps avec vous. Je ne peux imaginer ne pas pouvoir caresser de tels corps, je vous connais depuis à peine une heure et je suis déjà complètement obnubilée par vous, par vos courbes.
–Je ne vois pas de problème à ce qu’on se voit de temps en temps, mais il ne faut pas que ça devienne une obligation, nous voulons rester libres.
–Ça va de soi, je ne veux pas m’imposer, juste vous voir de temps en temps.
Charlotte se lève et vient poser ses lèvres sur les siennes, elle y dépose un rapide baiser, je me lève et lui fais la même chose, elle ...
... nous regarde en souriant.
–Je présume que vous êtes d’accord.
–Tu présumes bien.
Elle se lève et viens nous enlacer, nous sommes collées contre elle, ses mains se promènent sur nos corps, elle profite de toutes les occasions. Nous nous laissons faire jusqu’à ce qu’elle nous lâche et nous entraine vers la cuisine.
–Il est temps de manger nous en avons besoin.
–Il y a quoi à manger ?
–Rien.
–Et on fait comment ?
–On attend en mettant la table.
Elle nous donne des assiettes, des couverts et des plats, nous allons mettre la table sur la table ronde en verre. Nous avons à peine fini que l’on frappe à la porte.
–Entrez, c’est ouvert.
La porte s’ouvre, je regarde Charlotte, quelqu’un arrive et nous sommes nues, Philippine va vers l’entrée tout à fait naturellement, elle revient avec trois hommes portant un carton contenant quelque chose de semble-t-il très chauds. Ils nous regardent comme si nous faisions partie de décor, mais n’ont pas du tout l’air de trouver bizarre que trois nanas les accueillent à poil. Ils posent les cartons sur la table, se font payer et s’en vont.
–Ils ont l’air de bien te connaitre.
–Oui, à chaque fois que j’ai besoin d’un repas, je leurs commande, ils viennent, nous voient en général à poil quand ce n’est pas en pleine action et s’en vont sans rien dire après s’être fait payer, et quelquefois, il y a plus de dix nanas.
–Que des nanas ?
–Toujours, jamais d’homme, que des nanas, ce sont mes trois choux, les seuls ...