1. II - Plaisirs coupables (21)


    Datte: 07/09/2018, Catégories: Hétéro Auteur: flyx13, Source: Xstory

    Une fois la journée terminée, Jenny et Florian n’ont pas manqué de donner une suite à l’épisode du midi, mais dans un autre registre, cette fois-ci. Les ruades brutales et appuyées, tout comme les mots crus et les gifles, ont laissé place à des étreintes douces et sensuelles.
    
    C’est dans ce genre d’union exaltée que l’amour qu’ils ressentent l’un pour l’autre saute le plus aux yeux. Ils se regardent, s’enlacent et se caressent sans aucune hésitation, comme si leurs cœurs, leurs corps et leurs esprits ne faisaient plus qu’un. Ils dégagent un érotisme pur qui atteint son paroxysme à chacun des orgasmes qu’ils s’offrent.
    
    Ils s’aiment d’une passion débordante, seul un fou pourrait prétendre le contraire à ce moment-là.
    
    Après avoir passé des heures à se donner mutuellement du plaisir, ils se collent l’un à l’autre, emmêlant leurs bras et leurs jambes.
    
    Florian finit par remarquer que sa petite amie a l’air pensive.
    
    — Ça va, chérie ?
    
    — Hum ? Oui oui, ça va.
    
    — Tu penses à quoi ?
    
    — À l’avocat qu’on a vu ce matin.
    
    — Il te manque à ce point ? blague Florian.
    
    — Grave, j’aurais trop aimé qu’il soit avec nous dans le lit ! Non, en fait, j’ai beau tourner et retourner tout ça dans ma tête, j’arrive pas à comprendre pourquoi il a fait cette proposition. Mon père a raison, aucun dirigeant n’aurait pu accepter ce qu’il a proposé et je me demande ce qui l’a poussé à faire des milliers de kilomètres pour se prendre un vent.
    
    — Faut pas chercher à comprendre.
    
    — ...
    ... Et puis la manière qu’il avait de se comporter... il était comme en terrain conquis, comme s’il savait qu’il finirait par avoir ce qu’il veut.
    
    — Là, t’es en train de me faire la description d’une parfaite tête à claques.
    
    — Aussi oui, je lui en aurais bien mis une ou deux pour me détendre !
    
    — Ne te rends pas malade pour lui, de toute manière, il n’a aucun moyen de vous forcer la main.
    
    Il se penche vers Jenny et l’embrasse.
    
    — Oh, à propos, j’ai reçu un message de mon frère cet aprèm’ et il m’a dit qu’il t’adore ! ajoute-t-il.
    
    — C’est gentil ! Tu lui diras que c’est réciproque.
    
    — Compte sur moi.
    
    — Ça a l’air d’être un mec super cool, c’est étonnant qu’il soit toujours célibataire. Il a un défaut inavouable ou quoi ?
    
    — Oui, et un gros même. Mon frère est un cœur d’artichaut géant sur pattes !
    
    — Ben c’est pas un défaut ça.
    
    — C’en est un quand tu deviens incapable de te rendre compte que la personne sur qui tu craques te prend pour un con.
    
    — Ah oui, vu comme ça, en effet. Mais ça lui est arrivé souvent ?
    
    — Oulah oui, beaucoup trop souvent. La dernière en date l’a fait beaucoup souffrir, c’était une salope de première.
    
    — Tu as essayé de lui faire remarquer ?
    
    — Plus d’une fois, mais il voulait rien entendre. On s’est souvent pris la tête à cause de ça.
    
    — Comment ça s’est terminé ?
    
    — Elle a trouvé un autre pigeon qui a bien plus de pognon que lui.
    
    — Et il l’a pris comment ?
    
    — Très mal, il a été en dépression pendant presque deux ...
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