Pervertie par deux vieux coquins (2)
Datte: 07/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: albin63, Source: Xstory
... crainte. L’espace d’un instant, j’eus envie de l’appeler et lui balancer la vérité pour l’extraire de cette situation. Ca semblait malsain. Cette jolie jeune femme entraînée là-dedans. Soudain, une porte puis une seconde claquèrent. Il s’agissait du photographe et de son assistant qui sortirent de la Mercedes. C. sortit de notre voiture et s’avança vers eux. Ils lui claquèrent une bise mais c’est l’assistant qui glissa un geste mal placé, au niveau de ses fesses, qu’elle repoussa rapidement d’une main.
— Tout de même, rouspéta-t-elle avec son petit air renfrogné. Je vous permets pas, sinon je pars. On a dit que des photos cette fois-ci. Je suis pas un jouet.
— Ah ! Pourtant... il y a quelques jours si j’avais pu les manger toute entière ces deux petites pommes ! pouffa-t-il en esquissant un sourire pervers qui laissa paraître une dent en or.
Le photographe l’intima de se taire en lui donnant un coup de coude.
— C’est ici, annonça ce dernier. Mon ami ne devrait pas tarder à arriver.
En effet, quelques secondes plus tard la porte d’entrée s’ouvrit sur un colosse au visage rubicond d’1 mètre 95 environ, 110 kilos, et deux énormes mains. Ma femme tressaillit et avala une gorgée de salive.
— Je crois que je vais partir, lâcha-t-elle un peu tremblante.
— Mais non, rassura le photographe, le cadre est idyllique pour nos photos... Ce serait dommage. Il vous arrivera rien de mal.
— C’est elle ? demanda le fermier aux deux hommes avec cette bouche très ...
... carnassière.
— Oui, lâcha l’un des deux.
Ils firent rapidement connaissance et nous entrâmes dans son habitat. L’intérieur paraissait très vieux et était très sombre. On pouvait deviner la forme d’un vieil escalier tapie dans l’obscurité du lieu et qui montait à l’unique étage. Seule la cuisine, très modeste, était éclairée.
— Je vous fais visiter ma ferme, venez. J’ai une petite exploitation.
Le groupe traversa la grange où se trouvaient plusieurs bêtes.
— Ca c’est une partie de mon élevage, lui dit-il tout fier. J’ai même des biquettes si vous voulez !
Ma femme adore les animaux. Elle craqua devant une petite chèvre et se courba au-dessus pour lui caresser le sommet du crâne. Les trois compères présents derrière reluquèrent impunément ses fesses.
— Il y a une zone assez propre avec du foin pour les photos, proposa le fermier.
Ma femme s’assit au pied de deux bottes de foin. Quelques minutes plus tard, le photographe, assisté de l’autre homme, enchaîna une série de clichés où elle n’apparaissait pas nue. Le cadre était réellement détonant. Le fermier, bras croisés et l’œil pétillant, observait sagement la scène dans un coin ombragé. Le photographe l’invita à se placer à quatre pattes.
— Non, trancha-t-elle. Je veux du glamour, pas du porno. On avait dit que...
— Pourtant je sais qu’au fond de vous ça vous plaît...
Elle hésita.
— Je garde le pantalon.
Plein d’appétit et le visage rayonnant de lubricité, le fermier semblait littéralement se ...